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torp a écrit : ↑24 oct. 2021, 14:54
Je me sens un peu seul dans la tribune centrale mais le kop Troyen n'est pas loin.
Allez les bleus et blancs
On est avec toi…..
On te verra te lever, comme un seul homme, sur chaque but Troyen….
Ça fait bizarre lorsque tu cries et tu lèves sur les buts troyens avec tout les cornichons autour de toi.
Quel kiff.
J’avais fait la même il y a quelques années, du temps de Perrin mais au parc des princes.
On avait ouvert le score sur une tête de Svenson de mémoire.
2 pimpims s’étaient levés. Moi et mon pote.
Je me souviens encore des regards…. Mdr
Bon, après la machine Ronaldinho s’était mise en route et on avait perdu 4-1…….
Mais super souvenir quand même…..
On est avec toi…..
On te verra te lever, comme un seul homme, sur chaque but Troyen….
Ça fait bizarre lorsque tu cries et tu lèves sur les buts troyens avec tout les cornichons autour de toi.
Quel kiff.
J’avais fait la même il y a quelques années, du temps de Perrin mais au parc des princes.
On avait ouvert le score sur une tête de Svenson de mémoire.
2 pimpims s’étaient levés. Moi et mon pote.
Je me souviens encore des regards…. Mdr
Bon, après la machine Ronaldinho s’était mise en route et on avait perdu 4-1…….
Mais super souvenir quand même…..
Ah moi quand j'y suis allé il y avait eu 0-0 et on était pas mal de troyens dans les tribunes apparemment. C'était 1 ou 2 an avant vers novembre ou décembre 2000 je pense. Je venais d'emménager en région parisienne.
Le plus chaud match à l'extérieur est le fameux déplacement à Metz (club que j'aime bien par ailleurs), où on s'est maintenu en gagnant 4-2. J'étais côté messin juste a coté des supps troyens mais de la Horda aussi. Les stadiers m'ont repéré avec un autre troyen et ont été super sympas et pro. Ils nous ont laissé passé en priorité et escortés à la fin du match, pour éviter les ultras en train de tout péter et brûler en tribune.
Aricles EE.
Comment l’Estac a corrigé le tir dans le derby...
Jimmy Giraudon, le capitaine troyen a été repositionné à la mi-temps pour monter sur le meneur de jeu rémois. Un changement tactique payant.
Vu d’en haut, la faille était flagrante en première mi-temps. Flips s’immisçait intelligemment entre la défense et le milieu troyens, était souvent touché par ses coéquipiers et pouvait allègrement orienter le jeu. « C’était compliqué à gérer », admet Laurent Batlles. Le problème a été solutionné à la pause (c’était même un peu tard) en un mouvement : Giraudon sortait de sa zone de confort pour aller presser le meneur de jeu rémois (Flips puis Kebbal) quand ce dernier était sur le point de recevoir le ballon.
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Rami et Salmier resserraient alors un peu dans l’axe pour couvrir leur capitaine. Résultat : le jeu stadiste n’avait plus de relais, et donc plus de fluidité au cœur du jeu. Les Troyens récupéraient le ballon bien plus haut et c’est toute l’équipe qui se trouvait rééquilibrer comme par magie. « On a su rectifier, explique Xavier Chavalerin. Les défenseurs sont sortis plus haut sur le “dix” adverse, cela nous a permis (aux milieux) d’aller sur leurs deux “six”. Cela a bien marché. » « Jimmy devait, sur le temps de passe, avoir la capacité de sortir, ajoute Laurent Batlles. Il ne fallait pas que nos deux milieux reculent pour ne pas laisser d’espace aux milieux rémois. Pour eux, cela a ensuite été plus compliqué. »
(Reims 1-2 Estac). On n’aurait pas misé sur une victoire troyenne, la deuxième de suite, en voyant la première demi-heure complètement à l’avantage de Reims. Mais l’Estac, au courage et à l’adaptation tactique, a su renverser le derby. Champagne !
Kouamé, toujours aussi actif dans l’entrejeu, a souffert comme toute l’équipe troyenne en première mi-temps.
Ce succès n’est pas un match référence comme celui face à Nice dimanche dernier (1-0). Mais en terre ennemie, il a certainement plus de valeur... et de saveur. Les trois points, déjà ; la suprématie régionale ensuite (Troyes n’a toujours pas perdu contre Reims en Ligue 1) ; la capacité de l’équipe à se rééquilibrer tactiquement à la mi-temps enfin.
Car pendant trente minutes, l’Estac s’est fait manger, il n’y a pas d’autre mot. Les défenseurs rendaient tous les ballons (même sur les touches !), les milieux étaient perdus et les attaquants n’investissaient jamais le camp adverse - la première incursion signée Touzghar a eu lieu à la 15e minute. Même dans l’agressivité, pourtant la base dans un derby, les Troyens n’y étaient pas, à l’image de l’ouverture du score rémoise sur coup de pied arrêté (6e, 1-0). « On n’a fait que subir pendant 35 minutes, observe Laurent Batlles. Reims avait changé son dispositif tactique, en mettant Kebbal à droite, en faux pied. Il a fallu adapter certaines choses qu’on avait travaillées cette semaine. »
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Le but de Baldé réveille, rassure et relance l’Estac
Xavier Chavalerin, comme ses copains, ne pouvait que constater les dégâts : « Cette première mi-temps a été compliquée, en raison de leur pressing très haut. Ils étaient toujours en surnombre au milieu. » Si le staff a réglé ce problème à la pause, c’est d’abord l’égalisation de Mama Baldé (41e, 1-1) qui a remis la tête des Troyens à l’endroit. « On n’a pas lâché et on a la chance de revenir à 1-1 à la mi-temps », note Chavalerin. « Ce but nous fait du bien, poursuit Batlles. On revient à égalité et les joueurs se sont dit qu’ils pouvaient encore marquer. Il a soulagé l’équipe. »
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Comment l’Estac a corrigé le tir dans le derby...
Au contraire, il a complètement décontenancé les Rémois, qui n’arrivaient plus à rien en seconde mi-temps, comme s’ils avaient compris qu’ils venaient de laisser passer leur chance. « On n’a plus trop été mis en danger, on a réussi à ressortir le ballon et à se créer des occasions, analyse le coach troyen. En fait, on a retrouvé ce qu’on avait vu lors des derniers matches. »
L’Estac n’a pas non plus survolé la deuxième mi-temps, mais a su concrétiser une occasion, par l’inévitable Chavalerin (66e, 1-2). Une demi-volée parfaitement maîtrisée, après un mauvais dégagement d’Abdelhamid, son ancien coéquipier. « Il s’est rappelé qu’il avait joué avec moi ! », blague le milieu troyen. Et d’ajouter : « Après le but, j’avais envie de courir partout, mais je ne l’ai pas fait, par respect. C’est toujours particulier de marquer contre son ancien club mais je retiens la victoire, je suis trop content pour mon nouveau club. »
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Les Aubois ont vraiment réalisé une bonne pioche en allant chercher chez le rival rémois Xavier Chavalerin qui, avec ce troisième but en onze journées, dépasse déjà d’une unité son record de buts en une saison de Ligue 1. Après tout, on ne va pas se gêner, les Marnais nous piquent bien du raisin à nous...
Dans ce derby de la Champagne, on a surtout aimé le score final (1-2) ! Une victoire à Delaune qui permet à l’Estac de passer devant les Rémois au classement, grâce à un but de... devinez qui ? Xavier Chavalerin, de retour sur ses terres ! La cerise sur le gâteau
ON A AIME
Le score final !
On ne demandait pas que l’Estac fasse le show à Delaune. On espérait juste que le promu revienne de son déplacement dans la Marne les poches pleines. Et c’est ce qui s’est passé. Cette victoire dans un derby se suffit à elle-même. On s’en délecte d’autant plus qu’elle permet de dépasser les Rémois au classement. N’en jetez plus ! La coupe… de champagne est pleine.
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Le soutien du peuple bleu aux « lapins » troyens
Lorsqu’il s’agit d’aller donner de la voix lors des courts déplacements, les supporters de l’Estac sont là. Les 500 acharnés du parcage troyen ont été à la hauteur du derby. « Un supplément d’âme grâce auquel on a pu tenir le score », dira Gauthier Gallon au coup de sifflet final. Cette victoire est aussi la leur, un coup « des lapins » jubilatoire. Les ultras rémois peuvent ranger à la cave leur banderole « Troie avait son cheval, Troyes a ses lapins. »
Le pied de nez de Chavalerin
Quatre saisons passées dans le jardin de Delaune ont donné à Chavalerin des repères. L’ancien Rémois a signé le but de la victoire d’une volée exécutée quasiment les yeux fermés à l’entrée de la surface. La réussite continue d’escorter le milieu relayeur, puisque sa frappe a été déviée par Abdelhamid, avant de tromper Rajkovic. Il reste co-meilleur buteur de l’Estac, à égalité avec Baldé, auteur d’un geste somptueux sur le premier but troyen (3 buts).
La solidité du bloc défensif
Dans la tempête, l’Estac n’a pas concédé tant d’occasions que cela, surtout des tirs lointains, preuve d’une forme d’impuissance rémoise à l’approche d’un Gallon irréprochable. Rami a rassuré. Giraudon a corrigé le tir après la pause en venant occuper les espaces devant la défense.
Ripart dans la bagarre, Kouamé increvable
Il ne marque pas, mais régale par son abattage dans toutes les zones du terrain. Ripart aime la bagarre et l’a encore prouvé dans ce derby. Même agressivité bien placée chez l’increvable Kouamé.
ON N’A PAS AIME
Les 35 premières minutes rémoises
Reims a pris à la gorge l’Estac, avec la même force que l’Estac avait étouffé Nice. Laurent Batlles parlait d’un système tactique rémois « difficile à analyser » avant le derby. Il a été servi : Oscar Garcia a sorti un 4-2-3-1 inattendu, avec un milieu densifié qui a marché sur son homologue troyen. Un déséquilibre corrigé après le repos, après une égalisation presque miraculeuse avant la pause.
Rien à ajouter à tout cela. On attend avec impatience de voir si on peut accrocher 2 autres gros : le 4 ème Rennes et le 2 ème Lens, après l'exploit contre Nice.
torp a écrit : ↑24 oct. 2021, 21:29
Ça fait bizarre lorsque tu cries et tu lèves sur les buts troyens avec tout les cornichons autour de toi.
Quel kiff.
J’avais fait la même il y a quelques années, du temps de Perrin mais au parc des princes.
On avait ouvert le score sur une tête de Svenson de mémoire.
2 pimpims s’étaient levés. Moi et mon pote.
Je me souviens encore des regards…. Mdr
Bon, après la machine Ronaldinho s’était mise en route et on avait perdu 4-1…….
Mais super souvenir quand même…..
Ah moi quand j'y suis allé il y avait eu 0-0 et on était pas mal de troyens dans les tribunes apparemment. C'était 1 ou 2 an avant vers novembre ou décembre 2000 je pense. Je venais d'emménager en région parisienne.
Le plus chaud match à l'extérieur est le fameux déplacement à Metz (club que j'aime bien par ailleurs), où on s'est maintenu en gagnant 4-2. J'étais côté messin juste a coté des supps troyens mais de la Horda aussi. Les stadiers m'ont repéré avec un autre troyen et ont été super sympas et pro. Ils nous ont laissé passé en priorité et escortés à la fin du match, pour éviter les ultras en train de tout péter et brûler en tribune.
Je me rappelle une fois au stadium de Toulouse on menait 2-0 à 5 min de la fin je crois, j'étais en transe tout seul dans le vide intersidéral de ce stade qui sonne creux à chaque fois, les pauvres fous me regardaient avec des yeux glaçants
On avait fait 2-2, j'étais complètement dégoûté à la fin du match .... Je faisais beaucoup moins le malin lol