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Vu aussi! mais j'avais lu PR OUT au début, j'avais trouvé ça assez trivial... J'ai réalisé quelques secondes après mon erreur...
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Faire comme contre Clermont la saison passée en chambrant, chantant "Diaw si t'es sympa, laisse marquer l'équipe de Troyes"Olivedu91 a écrit : ↑28 sept. 2023, 12:37 Je pense que la seule action efficace que pourraient mener les irreductibles supporters, serait d'encourager l'equipe adverse. Ca coute rien, y'a pas d'insultes ni de violence, juste la démonstration du désamour et que quelque chose est rompue. Tant pis pour les joueurs (qui de toute façon ne sont que de passage et n'en peuvent plus non plus).
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PATRICK KISNORBO écarté après le match contre saint Étienne
OUT OUT OUT
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Pureeeeee ça aura mis le temps....
Qui sera le prochain?
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L’entraîneur australien vit certainement ses derniers jours à Troyes, où il est arrivé en novembre dernier en provenance de Melbourne. - Photo Florian Mare
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Par Alan Mangin
Publié: 28 septembre 2023 à 14h39
Temps de lecture: 3 min
Ça sent la fin. Selon nos informations, Patrick Kisnorbo enfilera le costume d’entraîneur de l’Estac pour la dernière fois, ce samedi, pour la réception de Saint-Étienne. Et cela peu importe le résultat de la rencontre. Le sort de l’entraîneur australien serait donc scellé, au terme d’un mandat de dix mois qui sera marqué par une incroyable dégringolade sportive.
Une délégation du City football group - avec à sa tête Brian Marwood, directeur du football du CFG - doit se rendre à Troyes en début de semaine prochaine, pour finaliser les derniers détails. Cette décision serait même dans un coin de la tête des décideurs troyens depuis quelques semaines. Avec ce constat: Patrick Kisnorbo reste figé dans son management, n’évolue pas et, pire, ne fait pas progresser l’équipe et les joueurs. C’est ce dernier point qui est crucial au moment de trancher, comme nous le révélions dans notre édition de dimanche.
Alors qu’en novembre 2022, Bruno Irles avait été écarté au bout de treize journées - et ce pour des raisons similaires (progression insuffisante, relations compliquées avec l’environnement du club...) -, City group réagit plus vite cette fois. Aussi parce que la situation au classement est inquiétante, et que si une relégation en Ligue 2 n’était pas désastreuse (elle a même permis au CFG de lancer son réel projet), une descente en National remettrait en cause beaucoup de choses.
Se relancer
Si elle intervient bien la semaine prochaine, il aura quand même fallu attendre le bout du bout pour que City se décide à trancher dans le vif, alors que tout l’environnement troyen - et même en partie à l’intérieur du club - estime que Kisnorbo n’est pas l’homme de la situation. Comme pour Bruno Irles, il aurait sans doute été plus avisé de s’en séparer au terme de la saison précédente, afin de repartir sur autre chose. Car de nouveau, l’Estac - dont le recrutement a été fait en fonction du style de jeu prôné par Kisnorbo - va devoir se relancer en cours de route. On a vu la saison dernière que ça n’avait pas fonctionné. D’ailleurs, l’ancien président exécutif Aymeric Magne avouait même récemment que le timing de l’arrivée de Kisnorbo n’était sans doute pas idéal et que si c’était à refaire, l’Estac aurait fait différemment.
Ce constat d’échec éclate un peu plus au grand jour avec ce début de saison raté, l’Estac (16e) n’ayant aujourd’hui qu’un point d’avance sur le premier relégable.
Le choix de faire venir Kisnorbo - validé par Érick Mombaerts, et alors que l’Australien devait initialement rejoindre Palerme, alors en Serie C, que venait de racheter CFG - est un cuisant revers. Que le propriétaire s’apprête donc à réparer.
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Par Alan Mangin
Publié: 28 septembre 2023 à 14h39
Temps de lecture: 3 min
Ça sent la fin. Selon nos informations, Patrick Kisnorbo enfilera le costume d’entraîneur de l’Estac pour la dernière fois, ce samedi, pour la réception de Saint-Étienne. Et cela peu importe le résultat de la rencontre. Le sort de l’entraîneur australien serait donc scellé, au terme d’un mandat de dix mois qui sera marqué par une incroyable dégringolade sportive.
Une délégation du City football group - avec à sa tête Brian Marwood, directeur du football du CFG - doit se rendre à Troyes en début de semaine prochaine, pour finaliser les derniers détails. Cette décision serait même dans un coin de la tête des décideurs troyens depuis quelques semaines. Avec ce constat: Patrick Kisnorbo reste figé dans son management, n’évolue pas et, pire, ne fait pas progresser l’équipe et les joueurs. C’est ce dernier point qui est crucial au moment de trancher, comme nous le révélions dans notre édition de dimanche.
Alors qu’en novembre 2022, Bruno Irles avait été écarté au bout de treize journées - et ce pour des raisons similaires (progression insuffisante, relations compliquées avec l’environnement du club...) -, City group réagit plus vite cette fois. Aussi parce que la situation au classement est inquiétante, et que si une relégation en Ligue 2 n’était pas désastreuse (elle a même permis au CFG de lancer son réel projet), une descente en National remettrait en cause beaucoup de choses.
Se relancer
Si elle intervient bien la semaine prochaine, il aura quand même fallu attendre le bout du bout pour que City se décide à trancher dans le vif, alors que tout l’environnement troyen - et même en partie à l’intérieur du club - estime que Kisnorbo n’est pas l’homme de la situation. Comme pour Bruno Irles, il aurait sans doute été plus avisé de s’en séparer au terme de la saison précédente, afin de repartir sur autre chose. Car de nouveau, l’Estac - dont le recrutement a été fait en fonction du style de jeu prôné par Kisnorbo - va devoir se relancer en cours de route. On a vu la saison dernière que ça n’avait pas fonctionné. D’ailleurs, l’ancien président exécutif Aymeric Magne avouait même récemment que le timing de l’arrivée de Kisnorbo n’était sans doute pas idéal et que si c’était à refaire, l’Estac aurait fait différemment.
Ce constat d’échec éclate un peu plus au grand jour avec ce début de saison raté, l’Estac (16e) n’ayant aujourd’hui qu’un point d’avance sur le premier relégable.
Le choix de faire venir Kisnorbo - validé par Érick Mombaerts, et alors que l’Australien devait initialement rejoindre Palerme, alors en Serie C, que venait de racheter CFG - est un cuisant revers. Que le propriétaire s’apprête donc à réparer.
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Enregistré le : 09 août 2023, 22:59
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Je n'aime pas les expressions : "vit certainement" ou "selon nos informations", employé par l'EE.
C'est du sûr ou du pas sur ?
Tant que ce n'est pas fait, je suis comme Saint-Thomas.
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