Il n'y aura rien avant Brest, c'est sûr.
Après, l'opération commando peut effectivement se jouer sur les 10 derniers matchs, pas avec ce staff totalement incompétent.
Il semble même que certains joueurs s'étonnent en off que City ne soit pas encore intervenu. C'est dire.
Et l'EE met aussi la pression dans son journal de demain.
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Ils disent quoi?palexandre a écrit : ↑13 mars 2023, 21:33 Il n'y aura rien avant Brest, c'est sûr.
Après, l'opération commando peut effectivement se jouer sur les 10 derniers matchs, pas avec ce staff totalement incompétent.
Il semble même que certains joueurs s'étonnent en off que City ne soit pas encore intervenu. C'est dire.
Et l'EE met aussi la pression dans son journal de demain.
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Estac: silence, on coule...
Au rythme qui est le sien, l’Estac va droit dans le mur. Alors qu’elle s’apprête à jouer sa survie contre Brest dimanche, puis à Auxerre le week-end suivant, elle reste dans l’inaction. Et ça ne peut plus durer…
Renaud Ripart et les Troyens n’ont pas surfé sur le match nul arraché à Monaco. L’Estac vient de prendre 2 points sur 30...
Renaud Ripart et les Troyens n’ont pas surfé sur le match nul arraché à Monaco. L’Estac vient de prendre 2 points sur 30... - Photo AFP
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Publié: 13 mars 2023 à 18h45
4 min
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christophe mallet
Ce n’est pas encore l’heure des comptes, mais c’est le moment pour le club troyen de se regarder dans une glace, de reconnaître ses erreurs (le changement d’entraîneur cet hiver est un terrible échec quelle que soit l’issue de ce championnat). Le mal est fait. L’Estac n’a cessé de glisser au classement et la voici cette semaine qui accuse trois points de retard sur le premier non relégable. À onze journées de la fin, ce n’est pas rédhibitoire, mais c’est un fossé qui s’est creusé.
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Le rebond espéré après le match nul arraché contre Monaco n’a pas eu lieu. Quand d’autres clubs en lutte pour le maintien grappillent des points (Auxerre contre Rennes, Strasbourg à Marseille), Troyes a une bonne tête de relégable.
À Lorient, tous les maux qui accablent l’équipe sont remontés à la surface. La défense en premier chef. En Ligue 1, seul Angers fait pire. La faillite est d’abord individuelle avec des joueurs qui ne sont pas (plus) au niveau.
À sa décharge, elle ne peut pas supporter, à elle seule, le poids d’un match. À trop subir, l’Estac s’expose, or, dimanche, le milieu de terrain troyen en sous-nombre dans le cœur du jeu n’a pas existé. Enfin, quand l’équipe a sorti la tête de l’eau, une fois que Lorient a relâché la pression, la possession s’est avérée stérile. Dans les moments cruciaux, comme sur cette occasion en or de Rony Lopes à la 70e minute, les pieds ont tremblé. Un manque de confiance qui escorte les mal classés.
Qui pour remobiliser
les troupes ?
La défaite de dimanche s’apparente à une rechute. Affaiblie par une série de mauvais résultats, l’équipe est déboussolée. Qu’a fait le club pour tenter de remettre l’équipe dans le bon sens ? Il a choisi de maintenir, quoi qu’il en coûte, Patrick Kisnorbo, dans ses fonctions. C’est son choix. Un choix qu’il faudra assumer. Dimanche, l’entraîneur australien, malade, était resté à Troyes. Une absence qui, dans la position où se trouve l’équipe, n’est pas anodine (lire aussi ci-dessous). Son adjoint Peter Van der Veen a assuré l’intérim, en gardant forcément la trame du projet de jeu du numéro 1.
Dans tout autre club, le président serait monté au créneau pour remobiliser les troupes, taper du poing sur la table. Aymeric Magne, qui s’est rendu à Lorient dimanche, a-t-il cette légitimité sportive ? Certainement pas, encore moins en ce moment. Et jamais le board du City group n’a mis la pression aux joueurs, malgré les récents piètres résultats, à l’étonnement de certains d’entre eux.
Mobilisation générale avant Brest et Auxerre
L’Estac, comme ce fut le cas lors de la saison 2017-2018 sous les ordres de Jean-Louis Garcia, va droit dans le mur. Cette année-là, l’équipe avait dévissé en seconde partie de championnat, et la prise de conscience était arrivée trop tard. Les similitudes existent. Malgré cette reculade inquiétante, le club a du mal à regarder la réalité en face. Le mercato hivernal n’a été d’aucun secours, l’entraîneur persiste dans un schéma qui ne fonctionne pas, insiste avec des joueurs qui ne sont pas au niveau.
L’immobilisme ambiant n’a que trop duré. Le club va jouer sa survie sur les trois prochains matches : à quitte ou double contre Brest et à Auxerre. Puis face à Clermont. Un calendrier qui laisse à penser que, si l’Estac va droit dans le mur, ce mur n’est pas infranchissable.
C’est tout un club qui doit se remettre en question, se mobiliser et faire bouger les lignes, pour sauver ce qui peut l’être. Avec, et c’est le moment d’en appeler à l’union sacrée, le soutien des supporters. Même fâchés, et ils ont raison de l’être, eux aussi ont leur rôle à jouer pour redresser la barre tant qu’il est encore temps.
Au rythme qui est le sien, l’Estac va droit dans le mur. Alors qu’elle s’apprête à jouer sa survie contre Brest dimanche, puis à Auxerre le week-end suivant, elle reste dans l’inaction. Et ça ne peut plus durer…
Renaud Ripart et les Troyens n’ont pas surfé sur le match nul arraché à Monaco. L’Estac vient de prendre 2 points sur 30...
Renaud Ripart et les Troyens n’ont pas surfé sur le match nul arraché à Monaco. L’Estac vient de prendre 2 points sur 30... - Photo AFP
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Publié: 13 mars 2023 à 18h45
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christophe mallet
Ce n’est pas encore l’heure des comptes, mais c’est le moment pour le club troyen de se regarder dans une glace, de reconnaître ses erreurs (le changement d’entraîneur cet hiver est un terrible échec quelle que soit l’issue de ce championnat). Le mal est fait. L’Estac n’a cessé de glisser au classement et la voici cette semaine qui accuse trois points de retard sur le premier non relégable. À onze journées de la fin, ce n’est pas rédhibitoire, mais c’est un fossé qui s’est creusé.
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Le rebond espéré après le match nul arraché contre Monaco n’a pas eu lieu. Quand d’autres clubs en lutte pour le maintien grappillent des points (Auxerre contre Rennes, Strasbourg à Marseille), Troyes a une bonne tête de relégable.
À Lorient, tous les maux qui accablent l’équipe sont remontés à la surface. La défense en premier chef. En Ligue 1, seul Angers fait pire. La faillite est d’abord individuelle avec des joueurs qui ne sont pas (plus) au niveau.
À sa décharge, elle ne peut pas supporter, à elle seule, le poids d’un match. À trop subir, l’Estac s’expose, or, dimanche, le milieu de terrain troyen en sous-nombre dans le cœur du jeu n’a pas existé. Enfin, quand l’équipe a sorti la tête de l’eau, une fois que Lorient a relâché la pression, la possession s’est avérée stérile. Dans les moments cruciaux, comme sur cette occasion en or de Rony Lopes à la 70e minute, les pieds ont tremblé. Un manque de confiance qui escorte les mal classés.
Qui pour remobiliser
les troupes ?
La défaite de dimanche s’apparente à une rechute. Affaiblie par une série de mauvais résultats, l’équipe est déboussolée. Qu’a fait le club pour tenter de remettre l’équipe dans le bon sens ? Il a choisi de maintenir, quoi qu’il en coûte, Patrick Kisnorbo, dans ses fonctions. C’est son choix. Un choix qu’il faudra assumer. Dimanche, l’entraîneur australien, malade, était resté à Troyes. Une absence qui, dans la position où se trouve l’équipe, n’est pas anodine (lire aussi ci-dessous). Son adjoint Peter Van der Veen a assuré l’intérim, en gardant forcément la trame du projet de jeu du numéro 1.
Dans tout autre club, le président serait monté au créneau pour remobiliser les troupes, taper du poing sur la table. Aymeric Magne, qui s’est rendu à Lorient dimanche, a-t-il cette légitimité sportive ? Certainement pas, encore moins en ce moment. Et jamais le board du City group n’a mis la pression aux joueurs, malgré les récents piètres résultats, à l’étonnement de certains d’entre eux.
Mobilisation générale avant Brest et Auxerre
L’Estac, comme ce fut le cas lors de la saison 2017-2018 sous les ordres de Jean-Louis Garcia, va droit dans le mur. Cette année-là, l’équipe avait dévissé en seconde partie de championnat, et la prise de conscience était arrivée trop tard. Les similitudes existent. Malgré cette reculade inquiétante, le club a du mal à regarder la réalité en face. Le mercato hivernal n’a été d’aucun secours, l’entraîneur persiste dans un schéma qui ne fonctionne pas, insiste avec des joueurs qui ne sont pas au niveau.
L’immobilisme ambiant n’a que trop duré. Le club va jouer sa survie sur les trois prochains matches : à quitte ou double contre Brest et à Auxerre. Puis face à Clermont. Un calendrier qui laisse à penser que, si l’Estac va droit dans le mur, ce mur n’est pas infranchissable.
C’est tout un club qui doit se remettre en question, se mobiliser et faire bouger les lignes, pour sauver ce qui peut l’être. Avec, et c’est le moment d’en appeler à l’union sacrée, le soutien des supporters. Même fâchés, et ils ont raison de l’être, eux aussi ont leur rôle à jouer pour redresser la barre tant qu’il est encore temps.
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Soit tu en dis trop… ou pas assez! Allez va, étoffes!palexandre a écrit : ↑13 mars 2023, 21:33 Il n'y aura rien avant Brest, c'est sûr.
Après, l'opération commando peut effectivement se jouer sur les 10 derniers matchs, pas avec ce staff totalement incompétent.
Il semble même que certains joueurs s'étonnent en off que City ne soit pas encore intervenu. C'est dire.
Et l'EE met aussi la pression dans son journal de demain.
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L'article a été mis en ligne juste avant ton postJermstroyes10 a écrit : ↑13 mars 2023, 22:44Soit tu en dis trop… ou pas assez! Allez va, étoffes!palexandre a écrit : ↑13 mars 2023, 21:33 Il n'y aura rien avant Brest, c'est sûr.
Après, l'opération commando peut effectivement se jouer sur les 10 derniers matchs, pas avec ce staff totalement incompétent.
Il semble même que certains joueurs s'étonnent en off que City ne soit pas encore intervenu. C'est dire.
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Quelqu’un peut mettre l’article ici, pour les expats?
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L'article est sur la page précédente
par polo » lun. mars 13, 2023 11:21 pmnikosss51 a écrit : ↑13 mars 2023, 22:53L'article a été mis en ligne juste avant ton postJermstroyes10 a écrit : ↑13 mars 2023, 22:44Soit tu en dis trop… ou pas assez! Allez va, étoffes!palexandre a écrit : ↑13 mars 2023, 21:33 Il n'y aura rien avant Brest, c'est sûr.
Après, l'opération commando peut effectivement se jouer sur les 10 derniers matchs, pas avec ce staff totalement incompétent.
Il semble même que certains joueurs s'étonnent en off que City ne soit pas encore intervenu. C'est dire.
Et l'EE met aussi la pression dans son journal de demain.
je suis pour l'EPO : Eau, Pastis, Olives
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Merci beaucoup pour l'article !
Malheureusement, si l'article de l'EE est 100% juste, je ne suis pas sur qu'il est un réel impact.
Tout le monde le vois que ça ne va pas mais bon.....
Malheureusement, si l'article de l'EE est 100% juste, je ne suis pas sur qu'il est un réel impact.
Tout le monde le vois que ça ne va pas mais bon.....
! ! ! ALLEZ L'ESTAC ! ! !
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