C'est vrai qu'on ne se maintient que très rarement avec moins de 40 points.
Mais quelque chose me dit que ce sera le cas cette année. J'ai une autre analyse que certains ici.
Les grosses cylindrées (LYON, BORDEAUX, MARSEILLE) sont en train de se réveiller et beaucoup d'équipes peuvent encore jouer l'Europe (jusqu'au 12 ème, à 34 points) et personne ne lâchera de matchs, contrairement aux saisons où le ventre mou n'a plus rien à espérer ou à perdre.
Tous les points vont valoir cher et les équipes faibles (MONTPELLIER, REIMS, AJACCIO, TOULOUSE) vont ramer pour engranger.
Si on regarde de près les dernières années, plusieurs équipes se sont effondrées, je pense notamment à BREST en 2012-2013 (29 points après 26 journées, 30 points au final car 1 point en 12 journées !) car c'est le plus spectaculaire. Et les 4 équipes citées plus haut peuvent encaisser une série cata (l'ESTAC n'a bien pris que 5 points lors des 16 premières journées sous le règne de JMF ... et 0 victoire

).
Les candidats les plus sérieux à l'effondrement sont à mon avis REIMS (qu'on recevra), AJACCIO (2 points en 6 matchs) et TOULOUSE (1 point en 6 matchs).
Même si cette hypothèse est fragile, rien ne dit que MONTPELLIER et REIMS engrangeront plus de 7 points... et plus encore qu'AJACCIO prendra plus de 9 points et TOULOUSE plus de 15 points, pour dépasser les 36 points au final.
Il y a aussi la possibilité d'une rétrogradation administrative, d'un BASTIA par exemple (qui agace en haut lieu avec ses magouilles permanentes et je pense que Tracfin s'en occupe), auquel cas 18 ème c'est mieux que 19 ème, et 19 ème c'est mieux que dernier.
On verra bien, mais le mieux pour l'ESTAC est de prendre le maximum de points en jouant un vrai match de coupe à chaque journée (comme contre MONACO en décembre ou à AJACCIO samedi dernier). On a du monde pour faire tourner et pour aligner toujours les plus frais.
... Et si la barre est à plus de 36 points, tant pis pour nous

.