[CdF / 1/2] ESTAC - Bordeaux | Mar. 14 mai - 20h55

[estac84]

djuk
jvoulais simplement dire que avec 20000 GUS en trance dérrière notre équipe, on peut le faire,
ne pas siffler les erreurs de nos joueurs et les supporter jusqu a la 94eme minutes serait plus judicieux?
même en cas de résultat défavorable en court de match?
n ai je pas raison?

[Pontcaral]

Thiago est dans le groupe. Je pensais qu'il était suspendu.

Ci dessous la copie de la commission de disciple du 2 Mai


Un match ferme suite à un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 1, Coupe de la Ligue, Coupe de France) ou par révocation du sursis. La sanction prend effet à partir du lundi 6 mai 2013 à 0h00.

Younes Belhanda (Montpellier Hérault SC), Grzegorz Krychowiak (Stade de Reims), Aissa Mandi (Stade de Reims), Vincent Pajot (Stade Rennais FC), Mohamed Rabiu (Evian Thonon Gaillard FC), Ryad Boudebouz (FC Sochaux-Montbéliard), Thiago Xavier (ESTAC Troyes)

[Djuk]

djuk
jvoulais simplement dire que avec 20000 GUS en trance dérrière notre équipe, on peut le faire,
ne pas siffler les erreurs de nos joueurs et les supporter jusqu a la 94eme minutes serait plus judicieux?
même en cas de résultat défavorable en court de match?
n ai je pas raison?

Bien sur , mais tu commence en parlant de nous (et de toi , par la même occasion) "supporter de m.." .. Tranquille mon gars reste cool , on a tous envie d'aller à St. Denis
Pour ma part quoiqu'il arrive j'applaudirai mon équipe jusqu'au bout (et non pas jusqu'à la 94em , mais à la 120em si y'a ?)

[Mlledu10]

Girondins de Bordeaux : Sertic craint le « Barça » troyen

La Coupe de France a tendance à transcender les équipes en difficulté dans leur championnat. Alors que Bordeaux se déplace à Troyes mardi soir en demi-finale de la compétition, le milieu de terrain des Girondins Grégory Sertic a tenu à le rappeler à ses coéquipiers.

« C’est l’année ou jamais, mais on a failli se faire sortir par Raon-l’Étape et Moulins, s’est souvenu le joueur de 23 ans en conférence de presse. Cela prouve bien que c’est une compétition différente du championnat. Et Troyes, mardi, ce sera peut-être le Barça ! »

Aux Bordelais d’être le Bayern.

Source : But football club

[estac84]

en esperant une qualif a la 94 eme..........................;
demain bleu et blanc,
et bleu et blanc pour toujours
allez l ESTAC

[Mlledu10]

Furlan, l’incorrigible optimiste

Adversaires de Bordeaux demain soir (20 h 55) en demi-finale de Coupe de France, les Troyens développent un jeu créatif, reflet de la personnalité de leur entraîneur, l’enthousiaste Jean-Marc Furlan.

Revenu à Troyes en 2010, Jean-Marc Furlan appartient au cercle fermé des entraîneurs ayant dirigé plusieurs fois le même club, comme Robert Herbin à Saint-Étienne ou Luis Fernandez au PSG. « Et Christian Gourcuff à Lorient », ajoute Daniel Masoni, le président de l’Estac, dont c’est le modèle.

À l’étranger, c’est plus courant. On peut citer Fabio Capello (rappelé au Milan AC puis par le Real Madrid) ou Marcello Lippi (Juventus Turin), un autre grand. « Ce que je ne suis pas », plaisante Furlan, qui a été prolongé de quatre ans en octobre alors que son équipe n’avait pas remporté le moindre match de championnat, ce qui n’est pas banal dans ce milieu.

Disposant du plus petit budget de l’élite (19 millions d’euros contre 38 à Nancy par exemple), le fils d’Angel Masoni, l’entrepreneur du BTP qui a fait renaître le football dans cette ville, ne demande pas la lune à son staff, juste d’imprimer « une identité de jeu », à l’image des Merlus.

Furlan se sent donc comme chez lui dans ce climat familial, lui dont le père, également d’origine italienne, travaillait dans le bâtiment. « De toute façon, les Italiens venus en France, ils étaient soit maçons, soit chanteurs », rigole son employeur. L’ancien stratège de Libourne/Saint-Seurin possède heureusement d’autres qualités.

Défenseur de l’attaque

Mais commençons par ses défauts. Ce sera plus rapide. « Des fois, il adore parler, rapporte Benjamin Nivet. Ses séances vidéo peuvent être longues. Au bout de trois quarts d’heure, on peut lâcher. On en voit certains qui s’endorment ». Lassant Furlan ? Évidemment, il s’agissait d’une boutade. Fidèle parmi les fidèles, son numéro 10 est la preuve que le football créatif prôné par l’ancien défenseur central des Girondins est enthousiasmant pour ses joueurs. Pour travailler avec lui, le meilleur buteur de Troyes avait refusé il y a quelques années le contrat de trois ans que lui proposait Lorient.

Cette « philosophie de jeu » basée sur la possession de balle plaît aussi aux arrières. « La meilleure défense, c’est l’attaque », résume avec humour Jérémie Bréchet. L’ancien international savait Furlan capable de miracles. En 2003, il faisait partie de la génération lyonnaise, championne de France en titre, éliminée par les Pingouins, alors en CFA. « On ne s’attendait pas à trouver une formation aussi organisée », se souvient-il.

Loué pour son « humanisme » (Gaël Sanz, son ancien capitaine), son « humeur égale » (un journaliste de l’ « Est Éclair ») et une « grande gentillesse » (son président) ne dispensant pas le vestiaire de quelques « grosses soufflantes », le natif de Sainte-Foy-la-Grande se méfie toutefois de l’image qu’il renvoie.

Pas en interne, où il se sait apprécié de tous, mais au sein de sa corporation, que ses discours sur le beau jeu ont pu, croit-il savoir, agacer. « Je m’en excuse, regrette-t-il, invoquant un malentendu. S’il y a des gens pour qui j’ai le plus grand respect, ce sont mes confrères. Je respecte tous les footballs ».

Pas un donneur de leçon

À 55 ans, il ne voudrait surtout pas passer pour ce qu’il n’est pas, à savoir un « donneur de leçons ». Aussi ne se permettrait-il pas de porter un jugement sur la défense à cinq à laquelle Francis Gillot a longtemps eu recours, même si cette formule va totalement à l’encontre de ses conceptions, plutôt offensives. « Les derniers à avoir utilisé ce système sur la durée à très haut niveau, ce sont les Allemands, fait-il simplement remarquer. C’était aussi une constante au Brésil, parce que ce pays forme de très bons latéraux. Mais en Europe, ces trente dernières années, aucun club n’a pérennisé ce type de défense. Ce ne sont que des opérations sporadiques destinées à réveiller un groupe. Ce n’est pas un avis personnel. C’est l’histoire du foot ». Il est d’ailleurs le premier à rendre hommage à son homologue bordelais, « qui a su tirer ainsi le maximum de son effectif ».

Féru de littérature

C’est que la théorie se heurte souvent à la réalité économique. Montés avec le treizième budget de L2, les Troyens ont été « obligés, la plupart du temps, de défendre cette saison ». Comme en décembre à Chaban-Delmas (0-0), « où on a été bouffés ». Il n’est pas interdit cependant de parler d’opposition de styles. « Beaucoup nous trouvent spectaculaires », dit leur entraîneur. Mais pas trop fort. Cela pourrait motiver un adversaire en mal de compliments.

« J’aime faire partager ma passion, mais moins on me pose de questions, plus je suis dans l’ombre, plus je suis heureux », assure ce féru de littérature, qui retrouve un peu de quiétude après les matchs en se plongeant dans les romans et les livres d’histoire. Il en dévore quatre par mois. Son préféré : « L’Évangile selon Pilate », d’Éric-Emmanuel Schmitt. Il a également adoré « Le Club des incorrigibles optimistes » de Jean-Michel Guenassia. Un titre qui lui correspond bien.


Furlan ? « À Libourne, il avait déjà largement le niveau de la Ligue 1 »

« Enfant du club » comme il se définit lui-même, Simon Adoue se souvient des belles années à Libourne-Saint-Seurin avec Jean-Marc Furlan comme entraîneur. Avec une montée en championnat National et surtout trois beaux parcours en Coupe de France en 2002 (quart-de-finale), 2003 (8e) et 2003 (32e).

Simon Adoue se souvient très bien de ses années libournaises avec Jean-Marc Furlan comme entraîneur. (Stéphane Klein)

« Sud Ouest ». Dix ans après, que retenez-vous des épopées libournaises en Coupe de France ?

Simon Adoue. Ce sont de merveilleux souvenirs. Atteindre les quarts de finale, c’est fantastique pour un club de CFA. C’est écrit dans l’histoire du club, la Coupe de France nous a révélés.

Et de Furlan entraîneur ?

Comme coach, c’était le top niveau. Dans ce genre d’événements, il réussissait à transcender ses joueurs, avec des causeries de haut niveau, mais ce n’est pas qu’un entraîneur de Coupe de France.

Il prône le beau jeu, on se régalait sur le terrain avec lui. Les bases de son jeu étaient déjà très solides, elles nous ont permis de monter (jusqu’en National) et de battre les équipes de Ligue 1 en Coupe de France grâce à nos qualités, en pratiquant du beau football.

En quoi ses causeries étaient-elles de haut niveau ?

Au-delà de la tactique, ses discours étaient vraiment très préparés, appliqués. J’en ai gardé de grands souvenirs, il faisait souvent référence à des citations. On y adhérait complètement. En m’en souvenant, je me dis qu’il avait déjà largement le niveau de la Ligue 1 à l’époque. C’est vraiment quelqu’un de charismatique. J’espère qu’un jour, il aura l’occasion de diriger une équipe plus ambitieuse.

Que vous a-t-il apporté, personnellement ?

Je suis un enfant du club. Il m’a permis de découvrir le haut niveau, la Coupe de France. Son départ m’a un peu coupé dans mon élan mais je garde une grande admiration pour lui. En Coupe de France, il m’utilisait comme joker. À 19 ou 20 ans, c’était un peu crispant de jouer dans un stade de 15 000 personnes. Il me disait de me lâcher, de ne pas calculer, de jouer sur mes qualités. Je me souviens qu’en quart contre Bastia, il m’avait dit que j’aurai une occasion et comme par hasard, j’en ai eu une tout de suite après mon entrée. Il avait les mots pour nous mettre à l’aise.

Mardi soir, qui supporterez-vous ?

Je ne suis vraiment pas supporter des Girondins (sic), encore moins mardi. J’espère vraiment que Jean-Marc se qualifiera. Il a déjà battu le record de Libourne en se qualifiant pour les demi-finales (rire), je suis à fond derrière Troyes !

Source : Sud Ouest

[pepe 51]

boutons les Girondins chez eux

BON MATCH A TOUS

LE STADE DE FRANCE NOUS ATTEND


ALLEZ L'ESTAC

[Seven]

Pic de crue attendue à 21h... soit pile pendant le match !

[gayotremi]

Très simpa cette article sa ne m'étonne pas j'ai rencontre Furlant un soir a Metz l'an passer dans un hôtel avec l'équipe , un personnage assurément !
Après que l'on aime ou pas , ce mec respire foot mange foot , et il apporte un peu de class et d'intelligence dans un milieu qui en manque beaucoup !