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L'actualité de l'ESTAC Troyes en Ligue 2 BKT : discussions d'avant-matches et d'après-matches, notes, débats. Infos sur les équipes de N3, féminines, jeunes...
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Afin de rendre encore plus fort l'appartenance à la ville de Troyes et à la Champagne.
Il serait intéressant de mettre sur les drapeaux de point de corner les armoiries de la ville de Troyes (les anciennes), et demander aux joueurs lorsqu'ils marquent de les honorer de la plus belle des façons en les embrassant et faire de même en cas de victoire.
Il faut instituer des rituels pour y croire encore au maitien.
troyenetchampenois a écrit :Afin de rendre encore plus fort l'appartenance à la ville de Troyes et à la Champagne.
Il serait intéressant de mettre sur les drapeaux de point de corner les armoiries de la ville de Troyes (les anciennes), et demander aux joueurs lorsqu'ils marquent de les honorer de la plus belle des façons en les embrassant et faire de même en cas de victoire.
Il faut instituer des rituels pour y croire encore au maitien.
Maintenant, Masoni a un petit budget de 7000€.
Je pense qu'un but de marqué avec une embrassade des armoiries à 2000€, ça peut motiver les attaquants (c'est vrai on est dans un monde capitaliste et il n'y a que l'argent qui compte).
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DANIEL MASONI, le président de Troyes, n’a pas perdu tout espoir de maintien et reste persuadé que son entraîneur, Jean-Marc Furlan, est l’homme de la situation.
Daniel Masoni (55 ans) n’a pas pour projet de licencier son entraîneur Jean-Marc Furlan. Déjà parce qu’il ne veut pas se trouver sous le feu des projecteurs. Ensuite parce qu’il est persuadé que le technicien (55 ans) est le plus apte à porter le projet de son club, dix-neuvième de L 1. Même en Ligue 2, l’an prochain, comme cela se profile.
« VOUS AVEZ refusé de laisser les 7 000 € de recettes à votre dernier adversaire en Coupe de France, Montceau (1-0, le 5 janvier). C’est un peu radin, non ?
– Je suis très large sur mes deniers personnels, je suis très strict sur l’argent de mes entreprises. Un sou, c’est un sou. On a une masse salariale encadrée. Sur le prochain tour (Fontenay-le-Comte en seizièmes de finale, le 22 janvier), on a 30 000 € de frais de déplacement. Si on gagne le match, on touchera 20 000 €, dont la moitié ira aux joueurs. Donc, oui, je suis à 7 000 € près.
– Au point d’avoir budgété une relégation ?
– Oui, c’est ça. Si on se maintient, on sera très bien.
– C’est un manque d’ambition !
– Non, c’est une ambition saine sur le plan financier. Si on se retrouve en L 2, on ne sera pas en danger.
– Et ce sera avec Jean-Marc Furlan ?
– Mais je ne peux pas le virer ! S’il y en a un à virer, c’est moi ! Je ne lui donne pas assez de moyens. Jean-Marc fait avec les moyens du bord et il le fait très bien. On ne peut pas l’accuser. C’est mon père (Angel Masoni) qui l’a fait venir (en 2004) et il n’aurait jamais dû partir (en 2007). Thierry Gomez (son prédécesseur qui n’a pas renouvelé Furlan) est un &$# ! Il voulait tout faire alors que Jean-Marc, il faut le connaître. Il a du caractère. Un président n’est pas entraîneur, recruteur, agent… Sinon, on ferait des économies sur la masse salariale.
« Il faut qu’on gagne ce Championnat des plus mauvais et on n’est pas tout seuls… »
– Le terrain ne vous intéresse pas ?
– Pas du tout, chacun sa ¤#*ù^. Je ne saurais pas faire. Je n’ai jamais joué au foot, j’ai deux pieds gauches, c’est même pis que ça.
– Mais Furlan est l’entraîneur qui va peut-être vous faire descendre en L 2 !
– Peut-être. Mais c’est lui qui a fait monter le club en L 1 deux fois (2005 et 2012) et, en cas de malheur, c’est lui qui nous fera remonter. S’il part, je pars.
– Au lieu de cela, en octobre, vous l’avez prolongé jusqu’en 2017 alors que vous n’aviez pas encore gagné un match…
– La stabilité d’un club, on ne la gagne pas en changeant d’entraîneur tous les deux ans.
– Pourtant, vous l’aviez fait avec Patrick Rémy en 2009 alors qu’il vous avait fait remonter en L 2…
– Oui, je suis capable des deux. Lui, je l’ai limogé alors qu’on monte en L 2. C’était un homme qui ne me plaisait pas, je n’aimais pas sa mentalité. Il s’était mis beaucoup de joueurs à dos.
– Mais, aujourd’hui, ça ne vous inquiète pas ce classement (19e) ?
– Si, mais ça ne va rien changer ! J’y crois encore. Il faut qu’on gagne ce Championnat des plus mauvais et on n’est pas tout seuls. (Sourire.)
– Il y a quand même déjà un trou…
– Six points (sur Reims, premier non-relégable)… Bien sûr que j’y crois, sinon ce n’est pas la peine de se lever. Quand on voit nos prestations, ce n’est pas possible que ça ne tourne pas un jour. »
