Malheureusement ils sont repartis devant, nous mettant à 3pts les 2 petits nuls nous ayant servis à rester en contact sont passés.Il devient important de gagner des matchs pour sortir de cette zone.Esperons qu'ils ne leur viennent à l'idée de faire une série positive (je parle de sochaux bien sur).vodkacerise a écrit :Si ce soir Sochaux pert devant Evian (match à 18h30 pour ne pas concurrencer la champions'league) on peut passer 18éme sans jouer gràce à un meilleur goal averageindivert a écrit :Bonjour amis troyens. Je suis d'accord pour dire que Troyes vaut bien mieux que la 19ème place. .![]()
Ceci dit ce serait peut étre mieux que le 1er non relégable ne gagne pas .
Souhaitons donc un nul pour ce match entre le 18éme et le 17éme du classement ...
Finalement l'arbitre sera Ruddy Buquet assisté de Guillaume Debart , Cyril Gringore - Anthony Sarlin.
Je vois la compo suivante :
*******************Thuram*****************
***Colin***Jarjat***Rincon***Nsakala**
********Othon**********Ngoyi**********
Obbadi******Camus************Yattara
**************Marcos**************
*******************Thuram*****************
***Colin***Jarjat***Rincon***Nsakala**
********Othon**********Ngoyi**********
Obbadi******Camus************Yattara
**************Marcos**************
En balance avec Othon
N'importe quoi. Thiago est un de nos meilleurs joueurs.
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Il faudrait revenir de Sainté avec un point, histoire de ne pas être largués par Sochaux. 
ASSE - Troyes (samedi 20 h). Troyes ne baisse pas les bras
Les Troyens ne comptent qu’une seule victoire en championnat depuis le début de saison. Obtenue contre l’OM lors de la neuvième journée, elle les a relancés, leur a redonné confiance même s’ils sont toujours en position de relégables.
Tout avait mal commencé pour ce promu qui retrouvait la Ligue 1 cinq ans après l’avoir quittée. La défaite à domicile face à Valenciennes lors de la première journée n’était pas la meilleure des manières d’entamer la saison.
Celle, sévère (1-4) à Lyon une semaine plus tard soulignait combien l’ESTAc devrait cravacher pour atteindre son objectif clairement affiché : le maintien.
Le nul obtenu au stade de l’Aube face à Lorient, suivi d’un nouveau revers à l’extérieur (1-2) à Brest confirmait la difficulté de la tâche qui attend les Aubois.
Les hommes de Jean-Marc Furlan ne parvenaient pas, à s’extirper de la spirale de mauvais résultats. Certes, ils n’étaient jamais outrageusement dominés mais la roue ne tournait jamais du bon côté. Seule une victoire à Reims en Coupe de la Ligue donnait quelques signes d’espoir. Mais la dure réalité du championnat revenait sur le devant de la scène. Toulouse puis Bastia enfonçaient le clou.
L’ESTAC pointait à la dernière place au soir de la huitième journée.Et l’OM passa par là. Le leader du championnat, certes en perte de vitesse au moment de se déplacer en Champagne, céda dans les dernières minutes. Une victoire de prestige pour les Troyens, une victoire qui, surtout, leur permettait de ne pas décrocher au classement, de se maintenir à portée de fusil des non relégables.
Depuis l’ESTAC ne perd plus. Il s’est même qualifié pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue en s’imposant à Monaco. En championnat, il reste sur deux nuls : un à Reims, l’autre chez lui face à au champion de France, Montpellier. « On a douté à un moment mais on s’est toujours parlé ». Quentin Othon résume l’état d’esprit qui anime les Troyens. Même au plus fort de la tempête, ils n’ont jamais baissé les bras, jamais renoncé.
Ils sont surtout conscients que les difficultés sont toujours présentes, que le chemin qui mène au maintien est semé d’embûches.
Jean-Marc Furlan le sait même si l’attitude de ses joueurs le rassure : « Il est évident que la victoire permet aux joueurs d’avoir moins de poids sur les épaules. Mais ils n’ont jamais perdu leur sang-froid et ne m’ont jamais déçu depuis le début de la saison, sauf peut-être à Sochaux en deuxième période (défaite 3-1) et contre Toulouse chez nous (défaite 0-2). »
Et il croit dur comme fer que l’ESTAC repartira pour une nouvelle saison dans l’élite l’an prochain.
« Nous venons de très loin. Savoir saisir sa chance rend optimiste. Sur la durée, les résultats dépendent beaucoup des moyens économiques, des talents que vous pouvez attirer. Mais sur une ou deux saisons, tout est possible. Tout le monde ici y croit fermement. Notre objectif est plus que jamais de laisser au moins trois adversaires derrière nous à la fin de la saison » explique-t-il. Et après avoir fait chuter l’OM, les Troyens rêvent d’un exploit dans le Chaudron, contre des Verts qui sortent d’un exploit au Parc.
Fabien Camus y croit : « Aucune mission n’est impossible ! Chaque match a son histoire. On va rencontrer une des meilleures équipes du championnat, qui, c’est vrai, est en confiance. Il faut se servir de ça. Nous, on est le plus petit Poucet. C’est un inconvénient mais c’est aussi, parfois, un avantage à ne pas mésestimer. À nous de montrer ce qu’on sait faire. On prend tous les matches de la même façon. Comme on l’a fait contre Marseille. Il y a peut-être un coup à jouer. Moi, j’y crois… » Les Verts sont prévenus.
Source : le progrés
Les Troyens ne comptent qu’une seule victoire en championnat depuis le début de saison. Obtenue contre l’OM lors de la neuvième journée, elle les a relancés, leur a redonné confiance même s’ils sont toujours en position de relégables.
Tout avait mal commencé pour ce promu qui retrouvait la Ligue 1 cinq ans après l’avoir quittée. La défaite à domicile face à Valenciennes lors de la première journée n’était pas la meilleure des manières d’entamer la saison.
Celle, sévère (1-4) à Lyon une semaine plus tard soulignait combien l’ESTAc devrait cravacher pour atteindre son objectif clairement affiché : le maintien.
Le nul obtenu au stade de l’Aube face à Lorient, suivi d’un nouveau revers à l’extérieur (1-2) à Brest confirmait la difficulté de la tâche qui attend les Aubois.
Les hommes de Jean-Marc Furlan ne parvenaient pas, à s’extirper de la spirale de mauvais résultats. Certes, ils n’étaient jamais outrageusement dominés mais la roue ne tournait jamais du bon côté. Seule une victoire à Reims en Coupe de la Ligue donnait quelques signes d’espoir. Mais la dure réalité du championnat revenait sur le devant de la scène. Toulouse puis Bastia enfonçaient le clou.
L’ESTAC pointait à la dernière place au soir de la huitième journée.Et l’OM passa par là. Le leader du championnat, certes en perte de vitesse au moment de se déplacer en Champagne, céda dans les dernières minutes. Une victoire de prestige pour les Troyens, une victoire qui, surtout, leur permettait de ne pas décrocher au classement, de se maintenir à portée de fusil des non relégables.
Depuis l’ESTAC ne perd plus. Il s’est même qualifié pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue en s’imposant à Monaco. En championnat, il reste sur deux nuls : un à Reims, l’autre chez lui face à au champion de France, Montpellier. « On a douté à un moment mais on s’est toujours parlé ». Quentin Othon résume l’état d’esprit qui anime les Troyens. Même au plus fort de la tempête, ils n’ont jamais baissé les bras, jamais renoncé.
Ils sont surtout conscients que les difficultés sont toujours présentes, que le chemin qui mène au maintien est semé d’embûches.
Jean-Marc Furlan le sait même si l’attitude de ses joueurs le rassure : « Il est évident que la victoire permet aux joueurs d’avoir moins de poids sur les épaules. Mais ils n’ont jamais perdu leur sang-froid et ne m’ont jamais déçu depuis le début de la saison, sauf peut-être à Sochaux en deuxième période (défaite 3-1) et contre Toulouse chez nous (défaite 0-2). »
Et il croit dur comme fer que l’ESTAC repartira pour une nouvelle saison dans l’élite l’an prochain.
« Nous venons de très loin. Savoir saisir sa chance rend optimiste. Sur la durée, les résultats dépendent beaucoup des moyens économiques, des talents que vous pouvez attirer. Mais sur une ou deux saisons, tout est possible. Tout le monde ici y croit fermement. Notre objectif est plus que jamais de laisser au moins trois adversaires derrière nous à la fin de la saison » explique-t-il. Et après avoir fait chuter l’OM, les Troyens rêvent d’un exploit dans le Chaudron, contre des Verts qui sortent d’un exploit au Parc.
Fabien Camus y croit : « Aucune mission n’est impossible ! Chaque match a son histoire. On va rencontrer une des meilleures équipes du championnat, qui, c’est vrai, est en confiance. Il faut se servir de ça. Nous, on est le plus petit Poucet. C’est un inconvénient mais c’est aussi, parfois, un avantage à ne pas mésestimer. À nous de montrer ce qu’on sait faire. On prend tous les matches de la même façon. Comme on l’a fait contre Marseille. Il y a peut-être un coup à jouer. Moi, j’y crois… » Les Verts sont prévenus.
Source : le progrés
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