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[Saison 2012/2013] Préparation Estivale
- Seven
- International
- Messages : 6111
- Enregistré le : 19 août 2003, 09:59
- Localisation : Troyes
Re: [Saison 2012/2013] Préparation Estivale
La guerre de Troyes aura lieu
Sans faire de bruit, l’ESTAC est de retour. Emmenés par Jean-Marc Furlan, les - jeunes - héritiers des Rothen, Saïfi et Heurtebis ont décroché leur billet pour l’élite à la quasi-surprise générale. Mais le plus dur reste à faire pour un club à l’effectif et au budget restreints, qui présente pourtant quelques atouts pour rester dans l’élite.
Retour sur la montée
Si on rembobine la cassette d'un an, peu de gens auraient placé l’ESTAC sur le podium de Ligue 2 en fin de saison. Si les joueurs de Jean-Marc Furlan n’étaient pas attendus à pareille fête, c’est qu’ils s’étaient sauvés in extremis la saison précédente, avec deux petits points d’avance sur la zone rouge. Ce statut a permis au club de l’Aube d’avancer masqué toute la saison, pour coiffer Clermont et Sedan dans la dernière ligne droite. Dans les huit premiers pendant 29 journées, les Aubois n’ont pourtant passé que neuf journées sur le podium (dont les huit dernières), contre 25 pour les Auvergnats. Une régularité qui s’explique par une grosse défense, la deuxième de Ligue 2 (35 buts encaissés), et un parcours plus qu’honorable à domicile, avec seulement deux défaites au Stade de l’Aube. Rajoutons à ça un jeu fait de possession du ballon à outrance et d’attaques placées conclues le plus souvent par Marcos (12 buts), et voilà l’ESTAC presque logiquement en Ligue 1.
Pourquoi Troyes va galérer ?
Et maintenant ? « Cette année, ce ne sera pas la même histoire, admet l’entraîneur Jean-Marc Furlan. Je sais qu’il y aura plus de défaites que de victoires, il faut maintenant savoir si on a les compétences pour exister. Là, c’est un peu l’inconnu. » Concernant l’effectif, les hommes du président Masoni ont plus d’espoirs que de garanties. Sur les vingt joueurs qui composent actuellement l’effectif pro, douze ont joué quatre matchs de Ligue 1 ou moins. Si certains ont quelques dizaines de matchs de L1 dans les jambes (Drouin, Enza-Yamissi, Jarjat, Grax, Psaume), le groupe, en plus d’être restreint, semble peu armé pour tenir la distance. « Il nous manque quatre à cinq joueurs, avoue coach Furlan, qui espère faire venir des gars à minimum « 80 à 100 matchs de Ligue 1 ». Le retour aux sources de Benjamin Nivet (35 ans et 242 matchs en L1), déjà passé par le club entre 2002 et 2007, va dans ce sens. Mais ce sera loin d’être suffisant.
Pour convaincre des joueurs d’expérience de venir à Troyes, il n’y a pas trente-six solutions : soit il faut de l’argent, soit il faut attendre la fin du mercato pour enrôler ceux qui seront restés sur le bord de la route. Avec un budget atteignant 20 petits millions d’euros (soit environ dix fois moins que celui du PSG), le club va devoir se montrer patient. Ce qui veut dire plusieurs arrivées alors que le championnat aura déjà démarré. Ce qui n’est pas le meilleur moyen de créer une équipe-type opérationnelle au plus vite, d’autant que des concurrents directs comme Brest ou Reims se sont montrés actifs très tôt sur le marché des transferts.
Pourquoi Troyes va se maintenir ?
Si le groupe semble restreint, il n’en reste pas moins solidaire. De la descente en National il y a trois ans à la montée en Ligue 1 cette année, sans oublier le maintien laborieux la saison passée, cette équipe a tout vécu. Tout ça avec un noyau de six joueurs, duquel fait partie le capitaine Eloge Enza Yamissi. « On a prouvé que, mentalement, on était très forts. Ça fait plusieurs années qu’on joue ensemble, on connaît la mentalité de chacun. Et ça, c’est très important ! », argumente le taulier de la défense troyenne. Le genre d’état d’esprit indispensable pour tenir un résultat contre une grosse écurie ou glaner des points importants contre des concurrents directs en fin de saison. Le groupe pourra aussi compter sur une stabilité, puisqu’un seul joueur partira - et pas des moindres -, en la personne du jeune latéral droit Djibril Sidibé (19 ans), courtisé notamment par l’OL et le LOSC. Selon le président Masoni, les joueurs clés comme Saunier, Rincon ou Thiago ont « une marge de progression intéressante ». L’insouciance liée à la découverte de la Ligue 1 peut aussi se transformer en atout.
Pour espérer rester en Ligue 1 à l’issue de la saison, Troyes pourra aussi compter sur une concurrence homogène. « Il y a quelques années, j’aurais été plus inquiet. Là, notre chance, c’est qu’il y a vraiment deux championnats en un : celui des gros et celui des autres, note Jean-Marc Furlan. Un championnat pour le maintien qui profite aux équipes promues. » Ces trois dernières saisons, seules trois formations sur neuf ont fait l’ascenseur (Boulogne en 2010, Arles-Avignon en 2011 et Dijon cette année). Réputée joueuse et techniquement au point, l’équipe troyenne a donc toutes ses chances dans cette lutte pour le maintien qui peut concerner un grand nombre d’équipes. À condition de ne pas gâcher trop d’occasions, notamment en contre. « S’il y a bien un domaine dans lequel il faut qu’on progresse, c’est la contre-attaque, parce qu’on va souvent être obligés de subir », reconnaît le technicien passé par Strasbourg et Nantes. Habitué aux joutes de bas de tableau, son expérience ne sera d’ailleurs pas de trop pour sauver le club.
Pourquoi Troyes doit-il se maintenir ?
Penser à Troyes première division, c’est forcément évoquer les succès de l’ATAC des années 2000, emmenée par Rafik Saïfi, Samuel Boutal, Frédéric Danjou ou encore Jérôme Rothen. Après une honorable 7e place en D1 lors de la saison 2000-2001, la meilleure équipe de l’histoire du club remporte la Coupe Intertoto en 2001 face à Newcastle, avant d’être défaite par Leeds au deuxième tour de la coupe de l’UEFA. Le tout sous les ordres d’Alain Perrin. Rien que pour ça, le club mérite sa place dans l’élite.
Autre argument, l’ESTAC possède plusieurs caractéristiques d’un vrai club de Ligue 1. À commencer par son stade de l’Aube (20 400 places), refait en partie en 2004, qui n’a rien à envier à plusieurs clubs installés dans l’élite depuis plusieurs années, comme Nancy, Sochaux ou Lorient. Son centre de formation, classé 15e du pays, a été lancé il y a dix ans et commence à porter ses fruits. L’ascension de Blaise Matuidi, pur produit de la maison, en est le parfait exemple. Et, pour la première fois, le club vient de prêter quatre de ses poulains à des clubs de National, preuve de la vitalité du savoir-faire troyen. Et puis si on aime pas le foot, Troyes c’est toujours une bonne occasion de faire du shopping. La ville de François Baroin, fidèle supporter, est connue pour son savoir-faire industriel et ses nombreux magasins d’usine qui drainent chaque année des milliers d’assoiffés de bonnes affaires. Et les kops de supporters des 19 autres clubs en regorgent forcément.
Le joueur à suivre
Avec son pendant à droite Djibril Sidibé, le jeune latéral gauche Fabrice N’Sakala (21 ans) est le symbole de la formation troyenne. Si le premier nommé partira sans doute dans un club plus huppé, N’Sakala devrait, lui, rester une année de plus du côté de Troyes, malgré des sollicitations de Lyon ou Porto. Et ce ne serait pas du luxe pour les Aubois, avec qui il est sous contrat jusqu’en juin 2014. Arrivé au club à l’âge de 12 ans, ce milieu de gauche de formation est devenu un homme de base du dispositif de Jean-Marc Furlan la saison passée avec 31 matchs disputés (dont 30 comme titulaire).
Ce n’était pourtant pas gagné pour N’Sakala, qui n’avait disputé que six matchs en National la saison précédente. Le temps de se forger une expérience et d’apprendre toutes les ficelles de son nouveau poste de latéral, notamment au niveau du placement. De retour au club, Benjamin Nivet prévient : « Il est plein de talent et a soif de découvir la Ligue 1. Il faudra le suivre de près. » Preuve de son ascension, le natif du Blanc-Mesnil a fêté sa première sélection en équipe de France espoirs en septembre dernier face au Portugal. S’il n’a pas rejoué en Bleu depuis, l’éclairage de la Ligue 1 pourrait lui permettre de revêtir la tunique tricolore très vite
http://www.sofoot.com/la-guerre-de-troy ... 59629.html
Sans faire de bruit, l’ESTAC est de retour. Emmenés par Jean-Marc Furlan, les - jeunes - héritiers des Rothen, Saïfi et Heurtebis ont décroché leur billet pour l’élite à la quasi-surprise générale. Mais le plus dur reste à faire pour un club à l’effectif et au budget restreints, qui présente pourtant quelques atouts pour rester dans l’élite.
Retour sur la montée
Si on rembobine la cassette d'un an, peu de gens auraient placé l’ESTAC sur le podium de Ligue 2 en fin de saison. Si les joueurs de Jean-Marc Furlan n’étaient pas attendus à pareille fête, c’est qu’ils s’étaient sauvés in extremis la saison précédente, avec deux petits points d’avance sur la zone rouge. Ce statut a permis au club de l’Aube d’avancer masqué toute la saison, pour coiffer Clermont et Sedan dans la dernière ligne droite. Dans les huit premiers pendant 29 journées, les Aubois n’ont pourtant passé que neuf journées sur le podium (dont les huit dernières), contre 25 pour les Auvergnats. Une régularité qui s’explique par une grosse défense, la deuxième de Ligue 2 (35 buts encaissés), et un parcours plus qu’honorable à domicile, avec seulement deux défaites au Stade de l’Aube. Rajoutons à ça un jeu fait de possession du ballon à outrance et d’attaques placées conclues le plus souvent par Marcos (12 buts), et voilà l’ESTAC presque logiquement en Ligue 1.
Pourquoi Troyes va galérer ?
Et maintenant ? « Cette année, ce ne sera pas la même histoire, admet l’entraîneur Jean-Marc Furlan. Je sais qu’il y aura plus de défaites que de victoires, il faut maintenant savoir si on a les compétences pour exister. Là, c’est un peu l’inconnu. » Concernant l’effectif, les hommes du président Masoni ont plus d’espoirs que de garanties. Sur les vingt joueurs qui composent actuellement l’effectif pro, douze ont joué quatre matchs de Ligue 1 ou moins. Si certains ont quelques dizaines de matchs de L1 dans les jambes (Drouin, Enza-Yamissi, Jarjat, Grax, Psaume), le groupe, en plus d’être restreint, semble peu armé pour tenir la distance. « Il nous manque quatre à cinq joueurs, avoue coach Furlan, qui espère faire venir des gars à minimum « 80 à 100 matchs de Ligue 1 ». Le retour aux sources de Benjamin Nivet (35 ans et 242 matchs en L1), déjà passé par le club entre 2002 et 2007, va dans ce sens. Mais ce sera loin d’être suffisant.
Pour convaincre des joueurs d’expérience de venir à Troyes, il n’y a pas trente-six solutions : soit il faut de l’argent, soit il faut attendre la fin du mercato pour enrôler ceux qui seront restés sur le bord de la route. Avec un budget atteignant 20 petits millions d’euros (soit environ dix fois moins que celui du PSG), le club va devoir se montrer patient. Ce qui veut dire plusieurs arrivées alors que le championnat aura déjà démarré. Ce qui n’est pas le meilleur moyen de créer une équipe-type opérationnelle au plus vite, d’autant que des concurrents directs comme Brest ou Reims se sont montrés actifs très tôt sur le marché des transferts.
Pourquoi Troyes va se maintenir ?
Si le groupe semble restreint, il n’en reste pas moins solidaire. De la descente en National il y a trois ans à la montée en Ligue 1 cette année, sans oublier le maintien laborieux la saison passée, cette équipe a tout vécu. Tout ça avec un noyau de six joueurs, duquel fait partie le capitaine Eloge Enza Yamissi. « On a prouvé que, mentalement, on était très forts. Ça fait plusieurs années qu’on joue ensemble, on connaît la mentalité de chacun. Et ça, c’est très important ! », argumente le taulier de la défense troyenne. Le genre d’état d’esprit indispensable pour tenir un résultat contre une grosse écurie ou glaner des points importants contre des concurrents directs en fin de saison. Le groupe pourra aussi compter sur une stabilité, puisqu’un seul joueur partira - et pas des moindres -, en la personne du jeune latéral droit Djibril Sidibé (19 ans), courtisé notamment par l’OL et le LOSC. Selon le président Masoni, les joueurs clés comme Saunier, Rincon ou Thiago ont « une marge de progression intéressante ». L’insouciance liée à la découverte de la Ligue 1 peut aussi se transformer en atout.
Pour espérer rester en Ligue 1 à l’issue de la saison, Troyes pourra aussi compter sur une concurrence homogène. « Il y a quelques années, j’aurais été plus inquiet. Là, notre chance, c’est qu’il y a vraiment deux championnats en un : celui des gros et celui des autres, note Jean-Marc Furlan. Un championnat pour le maintien qui profite aux équipes promues. » Ces trois dernières saisons, seules trois formations sur neuf ont fait l’ascenseur (Boulogne en 2010, Arles-Avignon en 2011 et Dijon cette année). Réputée joueuse et techniquement au point, l’équipe troyenne a donc toutes ses chances dans cette lutte pour le maintien qui peut concerner un grand nombre d’équipes. À condition de ne pas gâcher trop d’occasions, notamment en contre. « S’il y a bien un domaine dans lequel il faut qu’on progresse, c’est la contre-attaque, parce qu’on va souvent être obligés de subir », reconnaît le technicien passé par Strasbourg et Nantes. Habitué aux joutes de bas de tableau, son expérience ne sera d’ailleurs pas de trop pour sauver le club.
Pourquoi Troyes doit-il se maintenir ?
Penser à Troyes première division, c’est forcément évoquer les succès de l’ATAC des années 2000, emmenée par Rafik Saïfi, Samuel Boutal, Frédéric Danjou ou encore Jérôme Rothen. Après une honorable 7e place en D1 lors de la saison 2000-2001, la meilleure équipe de l’histoire du club remporte la Coupe Intertoto en 2001 face à Newcastle, avant d’être défaite par Leeds au deuxième tour de la coupe de l’UEFA. Le tout sous les ordres d’Alain Perrin. Rien que pour ça, le club mérite sa place dans l’élite.
Autre argument, l’ESTAC possède plusieurs caractéristiques d’un vrai club de Ligue 1. À commencer par son stade de l’Aube (20 400 places), refait en partie en 2004, qui n’a rien à envier à plusieurs clubs installés dans l’élite depuis plusieurs années, comme Nancy, Sochaux ou Lorient. Son centre de formation, classé 15e du pays, a été lancé il y a dix ans et commence à porter ses fruits. L’ascension de Blaise Matuidi, pur produit de la maison, en est le parfait exemple. Et, pour la première fois, le club vient de prêter quatre de ses poulains à des clubs de National, preuve de la vitalité du savoir-faire troyen. Et puis si on aime pas le foot, Troyes c’est toujours une bonne occasion de faire du shopping. La ville de François Baroin, fidèle supporter, est connue pour son savoir-faire industriel et ses nombreux magasins d’usine qui drainent chaque année des milliers d’assoiffés de bonnes affaires. Et les kops de supporters des 19 autres clubs en regorgent forcément.
Le joueur à suivre
Avec son pendant à droite Djibril Sidibé, le jeune latéral gauche Fabrice N’Sakala (21 ans) est le symbole de la formation troyenne. Si le premier nommé partira sans doute dans un club plus huppé, N’Sakala devrait, lui, rester une année de plus du côté de Troyes, malgré des sollicitations de Lyon ou Porto. Et ce ne serait pas du luxe pour les Aubois, avec qui il est sous contrat jusqu’en juin 2014. Arrivé au club à l’âge de 12 ans, ce milieu de gauche de formation est devenu un homme de base du dispositif de Jean-Marc Furlan la saison passée avec 31 matchs disputés (dont 30 comme titulaire).
Ce n’était pourtant pas gagné pour N’Sakala, qui n’avait disputé que six matchs en National la saison précédente. Le temps de se forger une expérience et d’apprendre toutes les ficelles de son nouveau poste de latéral, notamment au niveau du placement. De retour au club, Benjamin Nivet prévient : « Il est plein de talent et a soif de découvir la Ligue 1. Il faudra le suivre de près. » Preuve de son ascension, le natif du Blanc-Mesnil a fêté sa première sélection en équipe de France espoirs en septembre dernier face au Portugal. S’il n’a pas rejoué en Bleu depuis, l’éclairage de la Ligue 1 pourrait lui permettre de revêtir la tunique tricolore très vite
http://www.sofoot.com/la-guerre-de-troy ... 59629.html
- juan21.rmcinfo.fr
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- Enregistré le : 12 oct. 2006, 11:02
- Localisation : Bordeaux
Re: [Saison 2012/2013] Préparation Estivale
Tres bel article
- Electronic-cat
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- Messages : 8440
- Enregistré le : 05 oct. 2002, 23:36
- Localisation : Vancouver
Re: [Saison 2012/2013] Préparation Estivale
Très bon article en effet.
Je trouve qu'il reflete très bien notre situation : un challenge de maintien difficile à relever, mais pas insurmontable, loin de là.
Par rapport à l'équipe, nous aurons surement des (bonnes) surprises quant à recrutement à venir et sans aucun doute cela va nous renforcer
Je trouve qu'il reflete très bien notre situation : un challenge de maintien difficile à relever, mais pas insurmontable, loin de là.
Par rapport à l'équipe, nous aurons surement des (bonnes) surprises quant à recrutement à venir et sans aucun doute cela va nous renforcer
- Tristanestac
- International
- Messages : 6854
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- Localisation : Pas Troyes
Re: [Saison 2012/2013] Préparation Estivale
C'est clair qu'il faut arrêter de croire qu'on ne vaut pas un Nice ou un Sochaux... Les 10 dernières places sont largement à notre portée faut arrêter.
-
- Contributeur
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Re: [Saison 2012/2013] Préparation Estivale
Un gardien n°2, un attaquant et un défenseur central de plus, et éventuellement (si Sidibé ne nous est pas prêté) un latéral droit de niveau et on sera bien .
C'est la seconde partie du mercato et la plus difficile, mais ne pas croire que l'argent de Sidibé va nous permettre d'acheter des joueurs, je ne le pense pas, donc ce sera long pour boucler notre mercato (rigueur oblige).

C'est la seconde partie du mercato et la plus difficile, mais ne pas croire que l'argent de Sidibé va nous permettre d'acheter des joueurs, je ne le pense pas, donc ce sera long pour boucler notre mercato (rigueur oblige).

- turtle
- Star mondiale
- Messages : 21447
- Enregistré le : 18 févr. 2004, 15:01
Re: [Saison 2012/2013] Préparation Estivale
Avec l'effectif actuel non, mais si on recrute bien on peut espérer le maintien.Tristanestac a écrit :C'est clair qu'il faut arrêter de croire qu'on ne vaut pas un Nice ou un Sochaux... Les 10 dernières places sont largement à notre portée faut arrêter.
- Seven
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- Messages : 6111
- Enregistré le : 19 août 2003, 09:59
- Localisation : Troyes
Re: [Saison 2012/2013] Préparation Estivale
Il nous manque évidemment encore plusieurs recrues cependant il ne faut pas s'attendre à voir débarquer des joueurs de renoms. On le sait: on doit être malins, être patients, attendre car nous ne pouvons pas débourser d'indemnités de transferts ni proposer de gros salaires, et ce, quitte à débuter le championnat avec un effectif pas encore complet. Ce n'est pas un choix, nos dirigeants ne sont pas stupides et savent bien l'importance d'intégrer les recrues le plus rapidement possible au groupe, mais c'est une obligation.turtle a écrit :Avec l'effectif actuel non, mais si on recrute bien on peut espérer le maintien.Tristanestac a écrit :C'est clair qu'il faut arrêter de croire qu'on ne vaut pas un Nice ou un Sochaux... Les 10 dernières places sont largement à notre portée faut arrêter.
Il ne faut pas non plus douter que le staff continue de travailler sur un marché très fermé. Baisse des droits TV, clubs français endettés, Euro 2012 + J.O sont autant de paramètres qui ralentissent les mouvements (excepté pour le PSG évidemment). Ça va se décanter dans les derniers jours voir les dernières heures, quand beaucoup de joueurs transférables ou "prêtables", qui espèrent une meilleure proposition ou un meilleur salaire verront la fermeture du mercato se rapprocher dangereusement. Alors on deviendra d'un seul coup plus attractifs.
Mais tout cela en gardant à l'esprit que ce qui doit être notre force ne sera pas un nom, une individualité mais bien ce qui nous a permis d'être en L1: le collectif. Un groupe qui se connait, un vestiaire qui a un vécu (National, maintien en L2, montée en L1) collectif et sur le plan du jeu.
Je ne sais pas si cela suffira à nous maintenir en L1 à l'issue de la saison. Ce sera de toute façon très dur et on va tous souffrir, nous supporters. Toujours est-il qu'il est difficile d'envisager un autre plan, une autre stratégie viable actuellement !
-
- Contributeur
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- Enregistré le : 14 nov. 2005, 19:02
Re: [Saison 2012/2013] Préparation Estivale
je pense la même chose, au mot prêt.
ça va nous remuer un peu dans nos tripes de supporters en début de saison, surtout si les résultats sont négatifs, mais je garderai mon sang froid, au moins jusqu'à la fin du mercato, sachant très bien que le club n'a pas d'autres solutions que celles ci.
Ensuite on verra, mais j'ai quand même de bons espoirs pour qu'on arrive à réussir ce mercato et que les joueurs qui étaient là la saison dernière s'adaptent assez bien à la L1.
On va serrer les dents.

ça va nous remuer un peu dans nos tripes de supporters en début de saison, surtout si les résultats sont négatifs, mais je garderai mon sang froid, au moins jusqu'à la fin du mercato, sachant très bien que le club n'a pas d'autres solutions que celles ci.
Ensuite on verra, mais j'ai quand même de bons espoirs pour qu'on arrive à réussir ce mercato et que les joueurs qui étaient là la saison dernière s'adaptent assez bien à la L1.
On va serrer les dents.

- Electronic-cat
- International
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- Enregistré le : 05 oct. 2002, 23:36
- Localisation : Vancouver
Re: [Saison 2012/2013] Préparation Estivale
Quand vous lisez les articles, les infos, les commentaires et remarques, l'ESTAC est deja en ligue 2 avant meme d'avoir commencer le championnat. Le challenge sera dur a relever, mais nous n'avons rien a perdre puisque dans la tete des gens, nous avons deja tout perdu !
Faute de moyen pour aller chercher des individualités, nous miserons alors tout sur le collectif. L'année derniere, nous avons su trouver de tres bons élements (Rincon, Thiago), nul doute que cette année nous aurons aussi de bonnes surprises
Faute de moyen pour aller chercher des individualités, nous miserons alors tout sur le collectif. L'année derniere, nous avons su trouver de tres bons élements (Rincon, Thiago), nul doute que cette année nous aurons aussi de bonnes surprises