Aurnukem a écrit :C'est là où je suis d'accord, le turn over est inexistant, ne serait-ce avec les jeunes par exemple. Je me doute qu'on a pas un effectif de fou, mais pourquoi faire jouer obbadi qui a eu une gastro la veille (je sais je remonte loin). Voila tout un symbole du coaching frileux de Furlan. Il est où le Furlan qui osait faire rentrer un attaquant supplémentaire pour faire basculer un match ???? J'ai le souvenir d'un match à Metz (4 à 2 pour nous) où même quand on menait, un attaquant supplémentaire était rentré à la place d'un milieu => Feuille de matchturtle a écrit :L'argument des pros-Furlan lors de son retour était que tout était de la faute de Gomez la première fois que ça n'a pas marché. Je pense que Furlan de 2004-2005 et son jeu hyper offensif a disparu depuis longtemps. Aujourdhui c'est un Furlan qui joue en 4-6-0. Alors même si les joueurs ont une grande part de responsabilité dans la situation actuelle du club, c'est Furlan qui décide de la tactique, des joueurs qui jouent au lieu d'autres et qui a fait de joueurs a l'intelligence limitée et a l'amour du club inexistant des cadres de l'équipe. Perrin s'est separé de Djukic quand celui-ci avait 34 ans et ne pouvait plus enchainer les matches comme avant et l'équipe tournait bien. Perrin savait se remettre en question et aucun joueur n'avait de passe-droit. Il pouvait mettre n'importe qui sur le banc. Furlan lui fait toujours jouer les mêmes, Marcos même cramé et a l'infirmerie toute la semaine débute la rencontre.
Je m'en souviens aussi de ce match. J'étais à coté d'un grand brun qui vivait dans le 54, près des supps troyens, mais côté Metz.
D'où on était c'était sympa le jeté de baton après le pénalty de Nivet (marqué 2 fois, car à rejouer à cause de ces fameux bâtons avec drapeaux pour le 2000ème match de Metz en L1 qui envahissaient la pelouse lors du 1er tir), n'est ce pas?
surtout coté Metz ! Mais pour illustrer ce que je voulais dire, là j'étais content d'avoir Furlan à la barre car on avait peut être du mal à faire des résultats mais ne perdre la foi du jeu offensif nous a sauvé cette année. Ensuite, on a sombré quand l'équipe dirigeante et le staff on voulu jouer aux apprentis sorcier 
Mais voila, comme tu le soulignes, Marcos se blesse mais on le laisse sur le terrain 
Alors qu'on a Bettiol ou Camara sur le banc qui pourrait (qui ne tente rien à rien comme on dit !) faire l'affaire ne serait-ce que sur ce match...
