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De mémoire si je dis pas de betise, Psaume c est 6 matchs - 2 buts (metz et grenoble) et 2 passes decisives (dijon) !!
Pas mal !! une tres tres bonne recrue !!

Merci pour la précision

Effectivement, excellentes stats

Personne ne relève le fait que l'entraineur de Dijon est peut être mauvais perdant

Pour moi LA recrue de l'année reste quand même Blondel, ensuite Drouin et Psaume, mais c'est vrai que cette année, les dirigeants on bien géré

Psaume est en effet une super recrue. Blondel et Drouin sont excellent. Ces trois recrues démontrent que le club a vraiment bien géré la situation cette saison.

Ces 3 recrutements permettent de contrebalancer la déception actuelle Grax.

Grax est blessé, ce n'est pas de sa faute, mais pour le coup, d'avoir sacrifié Duhamel au profit d'un joueur blessé, c'est tout de même la zone d'ombre de l'année. J'espère que Grax va rester à l'ESTAC la saison prochaine pour se relancer.

Electronic-cat a écrit :Psaume est en effet une super recrue. Blondel et Drouin sont excellent. Ces trois recrues démontrent que le club a vraiment bien géré la situation cette saison.

Ces 3 recrutements permettent de contrebalancer la déception actuelle Grax.

Grax est blessé, ce n'est pas de sa faute, mais pour le coup, d'avoir sacrifié Duhamel au profit d'un joueur blessé, c'est tout de même la zone d'ombre de l'année. J'espère que Grax va rester à l'ESTAC la saison prochaine pour se relancer.

Je suis d'accord mais je rajouterait aussi le recrutement de Bezzaz qui est inutile. Je veux bien qu'on lui laisse l'excuse de sa blessure mais on est déja en Mars et il est toujours pas prêt.

Je ne pense pas qu'on à recruter Grax pour cette année, je pense plûtot qu'on compte sur lui pour l'année prochaine, au mieux la fin d'année.

Il va nous là faire à la Drouin, une fois qu'il sera remis de ses pépins et qu'il aura plus de temps de jeu, il peut cartonner

bmx3i1 a écrit :Je ne pense pas qu'on à recruter Grax pour cette année, je pense plûtot qu'on compte sur lui pour l'année prochaine, au mieux la fin d'année.

Il va nous là faire à la Drouin, une fois qu'il sera remis de ses pépins et qu'il aura plus de temps de jeu, il peut cartonner

J'ajouterais dans les déceptions le cas de Duhamel ( on sait maintenant que c'est un bon attaquant de L2 mais niveau à confirmer sur 1 ou 2 saisons pleines ).
En fait l'erreur c'est que son profil ne correspond pas trop au style de jeu troyen.

Pour Grax et Bezzaz, ils seront surement nos 2 "bonnes" recrues de la saison prochaine, avec il faut l'espérer pourquoi pas un coup à la Mikkelsen

Compte rendu du match coté dijonnais:

Le DFCO dépose les armes à Troyes.

Florian JARJAT, a reçu l’ovation que les grands hommes méritent.

Manifestement, le DFCO ne s’est pas remis des effors effectués face au Mans. Les 30 premières minutes sont prometteuses, avant que le reste de la partie tombe sous dominiation Troyennes. Pour ne pas être parvenus à concrétiser sur leurs temps forts, les Dijonnais se sont résolus à rendre les armes. Les Troyens, plus frais et plus conquérants, se sont logiquements imposés

Large mais stérile domination Dijonnaise.

Dès la 4è minute, R. Cacérès fait briller le portier Troyen. Une frappe puissante des 20 mètres, est repoussée au dessus de la transversale par Blondel. Nos protégés sont bien rentrés dans la partie. La domination est entièrement DIjonnaise. Les Troyens doivent se contenter de quelques miettes, abandonnées par les visiteurs. Malheureusement, ni Ribas ni Cacérès, pourtant en très bonnes positions pour ouvrir le score, ne parviennent à trouver le chemin des filets.

6 corners pour les Dijonnais – 4 coups francs dangereux, et toujours le même résultat. Sur ce genre d’action, le DFCO n’arrive toujours pas à faire la différence. Soit c’est mal négocié par Bauthéac ou Ribas, soit il n’y a personne à la réception, pour prendre le dessus sur les défenseurs adverses. Voila un point sur lequel il devient urgent de progresser, car tout le monde connait l’importance de ces coups de pied arrêté.

Troyes ouvre le score contre le cours du jeu

On joue la 40′, lorsqu’ Eric Bauthéac, pour vouloir trop en faire, perd le ballon à 40 mètres de sa ligne de but. Il a tout le loisir de donner le ballon à S. Ribas le long de la ligne de touche, mais il préfère effectuer le drible de trop. Pourquoi jouer simple, lorsque l’on peut faire compliqué ? Il se fait subtiliser le ballon, avant de faire faute sur son adversaire. Le coup de franc est rapidement joué, et ça fini au fond des filets d’un JD Padovani, resté sans réaction. Voila, le DFCO est puni avant de rentrer aux vestiaires, et il ne s’en remettra jamais.

En seconde période, c’est le fantôme du DFCO qui évolue devant nos yeux. Incapables d’attraper le ballon, nos favoris subissent la domination d’une équipe Troyenne, beaucoup plus entreprenante. Sur un énième ballon perdu par les Dijonnais, le contre est terrible. G. Bettiol se joue de la défense Dijonnaise, complètement prise de vitesse. A l’intérieur des 18 mèttres, il fusille « PADO » d’une frappe croisée au ras du poteau. Voila un second but, qui est la copie conforme du 1er. Un appel en profondeur, un ballon qui arrive dans le pieds de l’attaquant, et une défense Dijonnaise prise de vitesse. Un seul attaquant ( Bettiol ) se joue de 4 défenseurs Dijonnais, transformés en spectateurs. C’est triste, mais la réalité est bien là. La défense Dijonnaise a fait preuve d’une largesse coupable. La sanction est immédiate.

A 2 / 0 pour les Troyens, on se dit que les jeux sont faits. Pourtant, E. Bauthéac délivre un caviar à S. Paulle, seul sur la ligne des 5 mètres. Malheureusement, sa frappe part dans les nuages, alors qu’il a la balle de 2 / 1 au bout du pied. C’est évident que lorsque l’on arrive pas à concrétiser ce genre d’occasion, on ne peut pas s’attendre à grand chose. Dommage car à 2 / 1, la pression serait revenue sur les épaules des Troyens, et tout redevenait possible. A contrario, les joueurs locaux ont continué de développé un jeu tout en mouvement, qui a souvent pris de vitesse l’équipe Dijonnaise, dont les lignes s’étirent au fur et à mesure que le match avance. Les 200 supporters Dijonnais croient pourtant au miracle, et continuent d’encourager un DFCO en perdition. Les Dogs et les Téméraires peuvent être fiers de leurs encouragements sans faille. Toutefois, il convient de corriger, avec fermeté, quelques écarts, qui coûtent une convocation du président des Téméraires, chez le commandant de police, place Suquet.

Le dernier quart d’heure se transforme en cauchemenar pour les supporters Dijonnais. Les vagues Troyennes se succédent, sur le but de Pado. Avec un petit peu plus d ‘intelligence, et de réussite dans le dernier geste, la correction aurait pû être beaucoup plus sévère. Sur ce qu’il a présenté tout au long de cette seconde période, avec cette défaite sur ce score de 2 / 0, le DFCO s’en tire à moindre mal.

Toujours à 4 points du podium, le rêve reste permi. Il y a encore de nombreux points à prendre, mais il faut corriger ces erreurs défensives qui coûtent très cher. Même si on défend la cause de JMC, lorsqu’il nous dit » on ne peut pas vivre, avant d’avoir vécu « , on espère, néanmoins, une prise de conscience de cette classe biberon, qui doit tout donner pour arracher les victoire. Ils peuvent et ils doivent faire mieux ,car ils en ont les moyens. Avec la réception de Metz, le DFCO doit tout mettre en oeuvre pour retrouver la rage de vaincre, qui lui permettra de rester coller au peloton de tête.

Et pour clôturer cette soirée, 2 personnes méritent, tout particulièrement, nos remerciements. Tout d’abord, le Président du DFCO, qui malgré la défaite et sa déception, a prit le temps de venir saluer et remercier les supporters. Et ensuite, Monsieur Flo JARJAT, qui est venu au pied de la tribune, pour nous saluer, et recevoir toute l’ovation qu’il mérite. Le poing sur le coeur, il a envoyé un message à tous les supporters Dijonnais. Par contre, permettez nous de passer sous silence, le comportement de nombreux joueurs du DFCO, qui mériteraient un long silence, de leurs supporters, lors de la réception de Metz. On a eu la confirmation, si besoin était, qu’il existe des Grands Hommes, et des petits hommes. Florian JARJAT fait partie de cette 1ère catégorie, mais ça, on le savait déjà !

Source: groupe de supporters les téméraires