[L2/J10] Troyes 1 / 0 Bastia - Vendredi 17 octobre 2025 à 20h

[romainpat94@free.fr]

Dire que mes haters m'ont défoncé pour 3 / 4 posts d IA ... La bande de l'obscurantisme...
Bref.... Beau Lancement de Tomass... Un bon contrôle orienté et une belle reprise pleine lucarne ...

Oui, j'ai précisé que c'était de l'IA qui ferait désormais les posts d'avant-match.
Mais l'idée étant juste de récupérer des informations / statistiques plus faciles à récupérer ainsi.

Je louais la très bonne initiative ... il faut vivre avec son temps

[Electronic-cat]

Dire que mes haters m'ont défoncé pour 3 / 4 posts d IA ...

Pendant que tu en parles et sans vouloir faire du hors sujet sur ce post de Bastia, n’oubliez pas de noter dans vos agendas !!

[Fab5210]

On va faire face à une équipe de guerrier qui n est pas à sa place et qui s est rechargé mentalement pendant la trêve. Ils vont tout faire pour gagner leur 1er match.

Match piège que je sens moyen. A nous aussi d être guerrier et de tout donner si on ne veut pas perdre des points demain.

[palex]

A part Sebas suspendu, Bastia récupère tous ses blessés, notamment son buteur italien Parravicini.
On aura contre nous la vraie équipe de Bastia, pas celle qui a accumulé jusqu'à 6 blessés, de potentiels titulaires, depuis août.

[TontonManu]

Son buteur à 0 but ? La France a peur !!!

[palex]

Je l'ai vu jouer. Le bonhomme est costaud (1m94), très bon point de fixation, bon remiseur, bon de la tête, mais il a longtemps été blessé aux adducteurs.
Je crains son réveil, niveau compteur but, contre nous.

[palex]

Le coach bastiais a donné son groupe, Sebas seule absence notoire. Il hésite encore entre un 5-2-3 ou un 4-3-3 :
Option prudente (5-2-3) :
Placide-Bohnert, Roncaglia, Guidi, Guevarra, Ariss- Ducrocq, Janneh-Tomi, Parravicini (jouerait au moins 60 mn) ou Blé, Boutrah.
Option offensive (4-3-3) :
Placide-Bohnert, Guidi, Roncaglia ou Guevarra, Ariss- Ducrocq, Janneh, Vincent-Tomi, Parravicini ou Blé, Boutrah.
Les autres joueurs du banc : Fabri, Meynadier, Petrignani, Aiki, Zaouai.

[Pa co 81]

Conférence de presse d’avant match de Stéphane Dumont.
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- Est-ce qu'on peut voir un petit coup pour l'infirmerie, s'il vous plaît ? Est-ce que les derniers blessés sont de retour avec cette trêve ?

« Quasi. Là, on a encore Ibra Traoré et Renaud Ripart qui sont sur le côté. Renaud plus proche qu'I.B. Et on a réintégré dans le courant de la semaine, c'était le cas même la semaine d'avant, Alex Phliponeau et Lucas Maronnier cette semaine. Donc voilà, on en a encore deux en dehors du groupe. Sinon, tous les autres postulent pour être dans le groupe demain ».
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- Ces deux retours, même en comprenant Renaud aussi, ça fait presque un joueur par ligne potentiellement. Pour vous, c'est forcément positif ?
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« Oui, c'est positif parce que d'une, on a envie que tout le monde soit disponible. Et puis, ce sont des joueurs de qualité dans l'objectif d'agrandir encore l'équipe dans son ensemble au cours d'un même match, à travers des séquences de match, sur des semaines rapprochées notamment. C'est quelque chose d'important, ce sont des joueurs importants et donc on est content ».
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- Est-ce que quand l'équipe tourne comme ça, est-ce que vous êtes tenté de faire confiance à ceux qui ont fait les derniers matchs et de réintégrer ces retours-là progressivement ?
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« Oui, ce n'est même pas être tenté. Aujourd'hui, on est dans une logique de groupe, il y a des choses à ne pas précipiter parce qu'ils ont eu malgré tout des blessures musculaires qui ont pris quelques semaines quand même. Il faut être très vigilant. Et puis d'autres, dans l'intervalle, font de bonnes choses. Donc en fait, ça sert tout le monde, ça sert l'ensemble. On les réintègre au compte-gouttes, même si, une nouvelle fois, ce sont des joueurs importants ».
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- Quand l'équipe tourne comme ça, c'est forcément plus facile pour un Yvann Titi d'intégrer l'équipe. Il y a peut-être un an, il n'aurait pas à intégrer certainement comme ça l'équipe. Là, même pour un retour, c'est plus facile quand l'équipe a ses repères ?
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« Oui, exactement. Tout le monde connaît les principes, tout le monde a le cadre de travail. Forcément, dynamique aidante, et quand on est capable de gagner les matchs, forcément, c'est plus facile d'intégrer ça. Parce que l'état d'esprit est bon, parce que la concurrence est saine et parce que tout le monde tire dans le même sens. Mais je pense qu'on peut le tourner de l'autre côté aussi. C'est parce que tout le monde tire dans le même sens et que la concurrence est saine et que l'état d'esprit est véhiculé et positif qu'on avance aussi. C'est toujours plaisant d'avoir quasi dans son ensemble tous les joueurs parce que ça veut dire que ça fonctionne bien, ça veut dire que le staff travaille bien. Et de toute façon, on a besoin de ça, c'est une obligation ».
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- Quel discours vous tenez à un Lucas, par exemple, qui a fait tous les matchs de prépa titulaire, même en début de saison, et qui voit son concurrent remplaçant performer?
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« De dire que quand à nouveau, il aura la possibilité de s'exprimer, il sera à 100%. Et en fait, comme l'a été Yvann, dès lors, on est tourné vers le collectif.... que là dessus ! C'est-à-dire d'occulter l'aspect individuel, d'être tourné sur les autres, sur l'équipe, sur la faculté à faire avancer l'équipe. Qu'on démarre ou pas, qu'on soit hors groupe ou pas, quand on a la possibilité de répondre présent, généralement ça se passe bien. C'est ce qui se passe depuis un petit moment maintenant, c'est-à-dire que des joueurs qui jouaient peu, quand ils se sont réintégrés parce qu'ils font des choses bien ou par des circonstances, blessures, cartons ou autre.... Mouna El Idrissy, il n'y a pas si longtemps que ça, Martin Adeline en début de saison, ce sont des symboles, et je pense que ce sont des repères pour le groupe. Mais c'est aussi ce qui nous caractérise. Au-delà de ce qu'on fait sur le terrain, sous groupe, un état d'esprit irréprochable. Et ça, il faut qu'on le garde ».
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- La trêve a fait du bien ? On a senti les joueurs qui commençaient à tirer un petit peu la patte avant cette trêve. Ça a permis aussi de récupérer les deux joueurs en question ?
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Oui, exactement. Je ne sais pas si elle a fait du bien. En tout cas, c'était important de pouvoir se régénérer, de pouvoir reprendre un peu de fraîcheur. Je pense qu'on a besoin de retrouver de l'intensité, ce qui nous a un peu manqué sur le match du Mans, pour plein de raisons et de manière logique. Je pense que oui, cette trêve a fait du bien parce qu'on a eu le temps de se régénérer, de réintégrer des joueurs, de continuer à avancer sur ce qu'on fait de bien, de corriger, d'analyser et de faire en sorte de faire mieux dans plein de domaines. Et c'est ça qui est intéressant quand on est coach.
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- Vous êtes 1er alors que l'équipe était quasiment à la fin du classement l'an dernier...
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( le coach coupe) « c'est des questions que je n'aime pas ça ( sourires). Moi, je ne vois pas de différence, sincèrement. Je sais qu'on a avancé depuis un long moment. Après, oui, il y a des temporalités qui font que. Mais même dans cette période-là, il y avait des choses, il y avait des prémices. C'est ça qui m'intéressait au-delà de l'aspect comptable. Je pense qu'on est dans une forme de continuité, bien prononcée malgré tout. On a accéléré dans pas mal de domaines. Mais voilà, on a posé un cadre, des bases sur l'état d'esprit, sur la mentalité. Et ensuite, on vient rajouter un aspect purement footballistique. Tout le monde s'imprègne de ça, adhère. Et du coup, on avance. Il y a des joueurs de qualité. Je pense qu'on est dans un contexte de qualité. Je pense qu'on favorise ça aussi. Maintenant, on n'est qu'à la neuvième journée. Un championnat, c'est très très long. Je le dis à chaque fois, il ne faut pas négliger ce que les joueurs font. Mais il faut raison garder malgré tout ».
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- Et vous, on sait que les joueurs adhèrent à votre discours. Tout le monde est bienveillant autour de vous. Ça vous fait du bien à Troyes, c'est quoi votre méthode ?
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« A moi ? ( sourires) C'est être capable de générer des conditions qui font que les joueurs puissent s'exprimer de manière efficiente. Aujourd'hui, on pose un cadre. On pose des principes. On a de la proximité. Parce que c'est comme ça qu'on fonctionne. Et c'est comme ça que je fonctionne. Et après, les joueurs, à eux de se lâcher. Aujourd'hui, on pose les bases. Mais ce que je veux, c'est qu'ils puissent se lâcher. Qu'ils puissent aller s'exprimer de manière purement naturelle. Sans arrière-pensée. C'est ce qu'on voit, je pense, de l'équipe. Mais il faut que ça dure. Donc on continue ça ».
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- Est-ce que vous vous sentez bien à Troyes dans le cadre ?
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« Je suis très bien. Très très bien ».
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- Qu'est-ce qui vous plaît dans cette ville ?
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« Tout. C'est une ville qui peut me caractériser par séquences. Je trouve qu'elle est simple. Je trouve qu'elle est abordable. Je trouve qu'elle est charmante. Je pense que ça me correspond bien ».
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- Il y a une question que vous n'allez pas forcément aimer. Au début, on parle de matchs extrêmes. Quelle est votre vision par rapport à ces matchs ?
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« Moi, je n'ai pas cette vision-là. Nous, on joue un adversaire de qualité. Alors oui, sur un plan comptable, forcément, un peu en difficulté. Mais nous, on est focus sur le match. Sur la capacité à retrouver l'intensité qui nous a manqué sur le dernier match au Mans. Et puis de continuer à avancer. Je trouve que pendant 15 jours, on a essayé de s'octroyer le maximum de chances de redémarrer correctement. D'avoir la volonté de gagner le match. Mais surtout de vouloir faire mal à notre adversaire. Ce qu'on a, une nouvelle fois, un peu moins bien fait dans les intentions il y a 15 jours. Après le classement, on voit toutes les semaines que parfois, ça ne veut pas dire grand-chose. Donc nous, on l'a occulté totalement ».
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- Le fait de revenir au Stade de l'Aube ou vous êtes les maîtres depuis le début de saison, est-ce que c'est quelque chose d'important ?
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« Oui, c'est un plaisir de jouer dans son stade. Ce qu'on veut nous, c'est être capable de poser nos intentions. Et de mettre en place les valeurs, la qualité de ce qu'on veut entreprendre devant notre public. Qu'on aimerait encore plus nombreux, ça c'est une certitude. Parce qu'on a besoin de tout le monde. Et on a besoin d'être poussé. Une fois qu'on a dit ça, on est chez nous. Et demain, l'objectif c'est de gagner le match. Point ».
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- Il y a un joueur qui n'est pas indifférent chez les supporters troyens, Mathys Detourbet, parce que c'est un jeune issu du sérail. Et qu'il suscite beaucoup d'enthousiasme. Et on a l'impression que ces derniers temps, les supporters attendaient beaucoup de lui, et peut-être un peu trop. Aujourd'hui, il en est où ?
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« Mathys, il est pleinement intégré au groupe. On l'a amené tranquillement la saison dernière. On a essayé de lui faire goûter les choses pendant 6 mois. L'amener tranquillement, à faire en sorte de s'intégrer. De humer un peu l'odeur de ce qui se fait au niveau. Et aujourd'hui, il y a un mode accéléré sur cette saison. Parce qu'il y a beaucoup d'attentes. Parce qu'il est d'ici. Et forcément, quand ça engendre ces choses-là, les attentes sont beaucoup plus prononcées. Il y a de la concurrence, c'est une certitude. Après, Mathys, on sait qu'il a du talent. C'est un jeune joueur.
Mon but, c'est de l'accompagner et de continuer à le faire progresser. Maintenant, de lui faire comprendre aussi que la meilleure façon de progresser, c'est de s'inscrire dans un collectif. Et je trouve que malgré tout, en ça, il avance. Alors forcément, à l'intérieur de ça, il y a des axes de progression. Notamment sur l'aspect défensif. Mais je trouve qu'il y a ce qu'on voit le week-end. Et Il y a malgré tout ce qu'on voit et ce que je ressens au quotidien. Et aujourd'hui, je le vois avancer. Je le vois souriant. Je le vois pétillant. Je le vois pas faire la tête alors que tous les week-ends, en ce moment, je le mets sur le banc. Maintenant, je pense qu'il y a eu un mode accéléré. Il y a un peu plus de temps mort. Ce n'est pas facile de rentrer dans des matchs. Mais je pense que le jour où il aura la capacité à rentrer vraiment correctement dans un match, en s'inscrivant de manière à 100% sur le collectif, je pense qu'il va franchir une étape bien plus prononcée que ce qu'on peut imaginer. Et je pense que c'est pour dans très peu de temps. J'espère même demain ».
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- Dans votre réflexion au milieu avec le retour progressif d'Alex Phliponeau , est-ce que vous avez aussi la volonté de revoir Momo Diop un peu plus haut, avec ses qualités un petit peu uniques dans cet effectif ?
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« Ouais, ça sera une possibilité. Après, je ne pense pas pour le moment. Je pense que ça viendra un peu plus tard. Je pense qu'Alex et Momo seront capables de se répartir la tâche devant la défense. Je pense que Momo, à terme, sera capable de faire ça et d'aller plus haut. Je pense que ça sera lié aussi aux circonstances du moment, aux blessures. Il y a des choses qu'on peut faire, pas faire. Je pense que c'est une articulation à trouver au regard de l'adversité, plus que nous. Maintenant, j'aime beaucoup Momo dans ce secteur. Alex a ces qualités-là aussi très importantes.
Maintenant, c'est mon job de pouvoir utiliser l'un et l'autre, voire les deux en même temps. Je pense qu'on a matière, je l'ai dit tout à l'heure, plus on aura de monde qui reviendra sans que les autres sortent du groupe, plus on aura vocation à construire nos matchs aussi. Et de faire en sorte de parfois terminer avec quasiment plus de force qu'au départ. Et ça, c'est un peu moins le cas malgré tout ces derniers temps. Et il faut qu'on soit capables, moi le premier, de travailler là-dessus, de faire en sorte que de la 1èreà la dernière minute, on soit performant, on soit intense, on soit qualiteux, on soit efficace. Et aujourd'hui, je pense que c'est un vrai axe de progression.
Et pour ça, il faut un maximum d'opportunités, de joueurs disponibles pour pouvoir après construire les choses ».
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- C'est-à-dire qu'aujourd'hui, c'est dur à dire. Vous pensez qu'il y a trop d'écarts entre ceux qui démarraient et ceux qui sont sur le banc ?
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« Je ne sais pas s'il y a un écart. En tout cas, c'est factuel. Quand il y a des joueurs qui sont importants dans l'équipe, et c'est logique, ça fait partie du truc. Maintenant, à nous de faire en sorte de réduire l'écart, de gonfler un peu le tout. Forcément, retour aidant, bien plus facile. Il y a des jeunes joueurs, beaucoup de jeunes joueurs sur le banc. Quand on voit ces derniers temps, Mathys Detourbet, Anis Ouzenadji, Roman Murcy, Elijah Odede, ce sont des gamins qui n'ont pas 20 ans, tous. Donc forcément, notre job, c'est à travers les matchs, à travers les entraînements, de pouvoir les monter sans que le collectif nous en pâtisse. Et c'est ce qu'on essaye de faire. Donc c'est logique que par séquence, on ait un peu de difficultés dans ce registre-là. Malgré tout, je trouve qu'on avance quand même ».
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- Et pour le coup, les trois joueurs dont on parle, qui vont faire leur retour, vont aider à ça. Dans le côté maturité, pour le coup, c'est épais ».
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« C'est-à-dire que parfois, vous pensez à plein de choses, et vous essayez de construire des choses. Et par séquence, c'est juste un ou deux joueurs qui vous trouvent la solution sans que vous ayez eu à la chercher vraiment. Donc forcément, un retour de Lucas, un retour d'Alex, j'espère Renaud bientôt... forcément que ça amène plus de densité au groupe, qui nous permet de voir les choses de manière différente. Maintenant, je suis très content de ce que les jeunes font, que ce soit 5 minutes, 10 minutes, au quotidien. Je sais que ce n'est pas facile, mais ils ont un état d'esprit irréprochable, parce que les autres aussi. De toute façon, on ne peut pas faire ce qu'on a fait depuis le début de saison sans que tout le monde tire dans le même sens ».
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- Est-ce que pour le coup, les 5 changements dans la gestion aussi, des statuts ou des égos, c'est plus simple pour un coach ?
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« Je ne sais pas si c'est plus simple. Je pense que c'est lié qu'à moi. Je ne suis pas un adepte du changement pour le changement. J'ai été joueur, je considère que parfois même fatigué, on ressent des choses, on a la merci de l'adversité, encore même avec un peu moins de gaz, que celui qu'on croit plus frais va nous desservir. Ça, c'est un dosage. C'est ce que je ressens moi. Après, oui, il y a des joueurs, je l'ai dit, quand ils sont sur le terrain, il se passe généralement beaucoup de choses positives. Dès qu'on les enlève, c'est plus délicat. Donc à nous de faire en sorte de trouver un équilibre de groupe. Mais encore une fois, je trouve que tout le monde tire dans le même sens. Vraiment. Et ça, c'est très plaisant pour moi.
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- Là, vous êtes à Troyes, vous avez connu Guingamp. Est-ce que vous sentez que c'est l'année où vous êtes à maturité, c'est la plénitude ?
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« C'est le fait d'avancer dans l'âge. Ça fait cinq années de Ligue 2 d'affilée. Je pense que j'ai dû bien enchaîner plus de 150 matchs de Ligue 2 d'affilée. Je pense qu'il y a peu de coachs. Généralement, ils sont coupés dans leur élan. Et forcément, oui, on fait en sorte de découvrir des choses. On analyse des choses différemment. Et puis, résultat aidant... mais je pense que ce sera encore plus le cas quand j'avancerai dans le temps, je pense que c'est logique ».

[Lalegende51]

Après notre impressionnante série en septembre , ce match contre bastia sera selon moi précurseur de cette prochaine série de matches avant la prochaine trêve internationale. Soit on repart dans la même dynamique positive dès demain avec la perspective de belles rencontres contre des adversaires directs soit on rentre dans le rang dans la lignée du match contre Le Mans.