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Pour en avoir discuté avec Turtle, tout est vrai !!!
Nous sommes très proche de la Banqueroute.
Qu'a fait Masoni ? Lui seul le sait. Ainsi que quelques intimes qui sont de moins en moins nombreux.
MONsieur est le Boss et le fait savoir en interne.
De toute façon, les évictions de Jezierski et Adam, pour faire plaisir à JMF, ont été un véritable scandale et le début d'une gestion calamiteuse, contrairement à tout ce que l'on nous a annoncé.
Il aurait mieux fait de vendre quand il en avait la possibilité. Aujourd'hui, c'est la cata...

Sérieux ? Où est passé l'argent ? En tout cas pas dans les transferts on a que des joueurs en prêt.

En plus à cause de ces prêts on aura personne à vendre à la fin de saison pour équilibrer les comptes.

oui, je n'arrive pas à comprendre comment nous sommes tombé si bas financièrement ? Tout semblait bien allé jusqu'à cet été. Si qqun peu m'expliquer ? lol

Mauvaise gestion de Masoni (pas capable de trouver des sponsors ou des partenaires), grosses primes de montée notamment, joueurs bradés, masse salariale qui explose avec 35 pros et 15 membres de staff, plus de joueurs a vendre pour renflouer les caisses en juin (sauf Bernardoni mais c'est un gardien donc moins cher)...

Masse salariale qui explose ? Je croyais que la DNCG devait invalider les contrats quand la masse salariale était dépassée.
Que la gestion de DM soit médiocre, cela semble évident, mais je ne vois pas comment on pourrait être au bord de la banqueroute.

Hâte de retrouver les gorets en National!

KOHH1985 a écrit :Hâte de retrouver les gorets en National!

Si le scenario se vérifie, on tombera bien plus bas que le National. Il s'agirait vraissemblablement de la DH, avec perte du statut pro et tout ce qui s'en suit.

J'ai également eu de très mauvais echos concernant les finances du club et je suis très amer concernant Masoni ces derniers temps. C'est aussi pour ça que je n'acable pas JMF; certes, il n'a pas raison dans tout ce qu'il fait, mais la situation aujourd'hui est principalement due à Masoni.

quel honte cette article de l'equipe


Masoni-Furlan, la fracture
HUGO DELOM ET JOHAN RIGAUD (AVEC D.D.)

LE PRÉSIDENT TROYEN, DÉÇU DU BILAN SPORTIF DE CES DERNIÈRES SEMAINES, S'INTERROGE SUR LES CHOIX ET LA GESTION DE SON ENTRAÎNEUR. AU POINT DE LE LIMOGER ?

Ils ne sont plus que trois, dans les cinq grands Championnats européens, à ne pas avoir remporté un seul match à l'approche de novembre : Moreirense (POR), l'Hellas Vérone (ITA), et Troyes, devenu lanterne rouge de L 1 le week-end passé après sa défaite à Bordeaux (0-1). Mercredi, les joueurs de Jean-Marc Furlan ont pris une énième bosse sur la tête en 16es de finale de la Coupe de la Ligue. Ils menaient 1-0 à Lille avec le premier but en France du Colombien Brayan Perea (22 ans), mais le LOSC a presque tranquillement retourné la situation en sa faveur après la pause (2-1), comme si la défaite troyenne était inéluctable.
Depuis son match nul à Rennes (1-1, le 26 septembre), l'équipe auboise a subi quatre revers, et c'est Lyon qui arrive demain. Ce début de saison catastrophique est la traduction de difficultés criantes sur le terrain. Schématiquement, Troyes apparaît trop juste dans les deux surfaces. Défensivement, c'est trop fragile, et offensivement, c'est trop maladroit. Et dans le fond, ce départ raté est la conséquence d'une gestion de l'intersaison déficiente. Troyes a dominé la L 2 la saison passée et a su très tôt que son avenir était en L 1.
Le recrutement en question
De quoi normalement préparer au mieux son retour parmi l'élite après son aller-retour en 20122013. Mais le recrutement a été hésitant et tardif, la DNCG a gelé l'ambiance en juillet en annulant la montée pour des problèmes financiers finalement réglés avec les ventes de Lionel Carole et Corentin Jean, et la déveine, avec les blessures de défenseurs comme Koné (rupture du tendon rotulien), n'a rien arrangé. Aujourd'hui, il existe clairement des divergences de point de vue entre le président et actionnaire majoritaire, Daniel Masoni, et le manager général qu'est JeanMarc Furlan (57 ans) sur les origines du mal-être sportif. Pour Furlan, revenu en 2010 après un premier passage entre 2004 et 2007, l'affaire de la DNCG a notamment été un frein majeur dans le lancement de la saison.
« Il faut qu'on arrête de dire que tout est la faute de l'histoire avec la DNCG si on en est là, ça me met hors de moi, répliqua Masoni le 15 octobre dans l'Est éclair. Je veux bien tout accepter, mais pas ça, c'est une contre-vérité. » Masoni n'est pas du genre à se défiler, mais, pour lui, le souci, c'était plutôt le recrutement, tant sur la méthode que les cibles. « J'aurais dû imposer de recruter plus vite, d'avoir une ossature pour la reprise de l'entraînement », disait-il, visant implicitement le responsable du recrutement, Nourredine Bouachera, mais aussi et surtout son coach. Masoni ne serait pas franchement ravi, entre autres, des performances de recrues comme Mavinga ou Veskovac et des prolongations, qu'il a pourtant validées, de Rincon, Ben Saada et Lacour. Il en serait arrivé à estimer qu'il manque un directeur sportif entre lui et Furlan, qui a les coudées franches en matière de recrutement et qui fait jouer ses réseaux, pas toujours efficaces.
Dans ce contexte brûlant, Furlan, que nous avons tenté de joindre en vain hier soir, est-il en danger ? « Son discours passe bien, il n'y a pas de raison de penser à changer, nous disait Masoni mercredi. Ça ne tourne jamais en notre faveur depuis le début de saison, mais je sais comment on travaille, et je suis persuadé qu'on va se rétablir d'ici à Noël. » Un soutien durable ? Pas si sûr.

JMF4EVER a écrit :quel honte cette article de l'equipe


Masoni-Furlan, la fracture
HUGO DELOM ET JOHAN RIGAUD (AVEC D.D.)

LE PRÉSIDENT TROYEN, DÉÇU DU BILAN SPORTIF DE CES DERNIÈRES SEMAINES, S'INTERROGE SUR LES CHOIX ET LA GESTION DE SON ENTRAÎNEUR. AU POINT DE LE LIMOGER ?

Ils ne sont plus que trois, dans les cinq grands Championnats européens, à ne pas avoir remporté un seul match à l'approche de novembre : Moreirense (POR), l'Hellas Vérone (ITA), et Troyes, devenu lanterne rouge de L 1 le week-end passé après sa défaite à Bordeaux (0-1). Mercredi, les joueurs de Jean-Marc Furlan ont pris une énième bosse sur la tête en 16es de finale de la Coupe de la Ligue. Ils menaient 1-0 à Lille avec le premier but en France du Colombien Brayan Perea (22 ans), mais le LOSC a presque tranquillement retourné la situation en sa faveur après la pause (2-1), comme si la défaite troyenne était inéluctable.
Depuis son match nul à Rennes (1-1, le 26 septembre), l'équipe auboise a subi quatre revers, et c'est Lyon qui arrive demain. Ce début de saison catastrophique est la traduction de difficultés criantes sur le terrain. Schématiquement, Troyes apparaît trop juste dans les deux surfaces. Défensivement, c'est trop fragile, et offensivement, c'est trop maladroit. Et dans le fond, ce départ raté est la conséquence d'une gestion de l'intersaison déficiente. Troyes a dominé la L 2 la saison passée et a su très tôt que son avenir était en L 1.
Le recrutement en question
De quoi normalement préparer au mieux son retour parmi l'élite après son aller-retour en 20122013. Mais le recrutement a été hésitant et tardif, la DNCG a gelé l'ambiance en juillet en annulant la montée pour des problèmes financiers finalement réglés avec les ventes de Lionel Carole et Corentin Jean, et la déveine, avec les blessures de défenseurs comme Koné (rupture du tendon rotulien), n'a rien arrangé. Aujourd'hui, il existe clairement des divergences de point de vue entre le président et actionnaire majoritaire, Daniel Masoni, et le manager général qu'est JeanMarc Furlan (57 ans) sur les origines du mal-être sportif. Pour Furlan, revenu en 2010 après un premier passage entre 2004 et 2007, l'affaire de la DNCG a notamment été un frein majeur dans le lancement de la saison.
« Il faut qu'on arrête de dire que tout est la faute de l'histoire avec la DNCG si on en est là, ça me met hors de moi, répliqua Masoni le 15 octobre dans l'Est éclair. Je veux bien tout accepter, mais pas ça, c'est une contre-vérité. » Masoni n'est pas du genre à se défiler, mais, pour lui, le souci, c'était plutôt le recrutement, tant sur la méthode que les cibles. « J'aurais dû imposer de recruter plus vite, d'avoir une ossature pour la reprise de l'entraînement », disait-il, visant implicitement le responsable du recrutement, Nourredine Bouachera, mais aussi et surtout son coach. Masoni ne serait pas franchement ravi, entre autres, des performances de recrues comme Mavinga ou Veskovac et des prolongations, qu'il a pourtant validées, de Rincon, Ben Saada et Lacour. Il en serait arrivé à estimer qu'il manque un directeur sportif entre lui et Furlan, qui a les coudées franches en matière de recrutement et qui fait jouer ses réseaux, pas toujours efficaces.
Dans ce contexte brûlant, Furlan, que nous avons tenté de joindre en vain hier soir, est-il en danger ? « Son discours passe bien, il n'y a pas de raison de penser à changer, nous disait Masoni mercredi. Ça ne tourne jamais en notre faveur depuis le début de saison, mais je sais comment on travaille, et je suis persuadé qu'on va se rétablir d'ici à Noël. » Un soutien durable ? Pas si sûr.

En quoi cet article est une honte ? Ca va mal chez nous ils ont quand même le droit d'en parler à l'équipe.