BIENVENUE SUR ESTACWEB.FR


Pour vous enregistrer, c'est simple et gratuit.
JE M'INSCRIS
Votre inscription sera confirmée sous 24h maximum.


Pour vous connecter, rendez-vous de ce côté.
JE ME CONNECTE

Bruno Irles [Entraîneur] (janvier - novembre 2022)

Les anciennes gloires (ou pas) de l'ESTAC. Retrouvez toutes les fiches joueurs des anciens joueurs de l'ESTAC : Blaise Matuidi, Djibril Sidibé, Corentin Jean...
◗ Joko, l'appli qui récompense tes courses : Leclerc, Lidl... Inscription ICI
Avatar du membre
Matthew

Re: [Entraîneur] Bruno Irles >> juin 2023

Message par Matthew »

BIBI au Late football club.

Ca parlait de Troyes, il dit "être consulté pour choisir les joueurs avec City Group", contrairement à ce que Battles pouvait laisser entendre.
Rendez vous demain à Manchester, pour parler avec le board et la direction de City.

Il est ravi de l'arrivée de Jackson et il a donné son accord en Janvier pour venir.
Avatar du membre
Cheick ibrahim
Stagiaire
Stagiaire
Messages : 136
Enregistré le : 02 août 2021, 12:21

Re: [Entraîneur] Bruno Irles >> juin 2023

Message par Cheick ibrahim »

Je pense qu'il va observer certains jeunes de city et s'il en veux il pourra en parler
Avatar du membre
zidou
Pro
Pro
Messages : 4798
Enregistré le : 01 févr. 2003, 14:20
Localisation : Paris

Re: [Entraîneur] Bruno Irles >> juin 2023

Message par zidou »

Il est interviewé par Le Parisien aujourd'hui : https://www.leparisien.fr/sports/footba ... UVBOBY.php

Si quelqu'un est abonné et pouvait nous partager l'article... 🙏
Avatar du membre
soho10
Pro
Pro
Messages : 1202
Enregistré le : 02 janv. 2011, 19:17

Re: [Entraîneur] Bruno Irles >> juin 2023

Message par soho10 »

zidou a écrit : 25 mai 2022, 12:45 Il est interviewé par Le Parisien aujourd'hui : https://www.leparisien.fr/sports/footba ... UVBOBY.php

Si quelqu'un est abonné et pouvait nous partager l'article... 🙏
«Je ne hurle pas sur mes joueurs» : Bruno Irles dévoile sa méthode après le maintien de Troyes

Il a rempli l’objectif assigné par ses dirigeants en permettant au club aubois d’enchaîner, enfin, une deuxième saison dans l’élite. Victime d’un procès en légitimité dès son arrivée, il met des mots sur ces maux, assume sa réputation d’intello et parle librement de Kylian Mbappé.

Le rendez-vous était fixé à la veille de la 38e journée. Pendant près de trente minutes, Bruno Irles, le coach de 46 ans, nommé en remplacement de Laurent Batlles le 3 janvier 2022 à Troyes, a rembobiné son parcours récent, parsemé de quelques soubresauts. Au romantisme de son prédécesseur, il a opposé en quelque sorte son pragmatisme. Il a su s’imprégner de son nouvel environnement et imposer ses principes pour conduire Troyes au maintien (15e). Il s’est également épanché sur son métier, sans oublier d’évoquer Kylian Mbappé — l’entretien a été réalisé avant l’annonce de la prolongation du joueur au PSG — avec qui la cohabitation à Monaco s’était parfois révélée difficile.

Où positionnez-vous le maintien de Troyes sur une échelle de valeurs ?

BRUNO IRLES. J’essaie d’apprendre, depuis mon arrivée, l’histoire de ce club. Troyes avait la réputation de faire l’ascenseur entre la L 1 et la L 2. Quand j’ai signé ici, on m’a notamment répété que l’ESTAC (Espérance sportive Troyes Aube Champagne) ne s’était pas maintenu dans l’élite depuis 2006. À partir de là, on peut parler d’un exploit, car ce n’était pas dans les habitudes de la maison. Et puis seize ans, quand même, ça commence à dater. Je n’avais pas beaucoup de cheveux blancs à l’époque (il rit).

Est-ce une fierté d’être le premier coach à réussir cette performance depuis 2006 ?

Je suis arrivé en cours de saison. On est donc deux avec Laurent (Batlles) à avoir maintenu l’équipe. Il l’a mené en L 1 auparavant. Il ne faut pas l’oublier non plus.

Fin février, vous aviez été visé par des banderoles hostiles lors de la réception de Marseille. L’état de grâce avait fait long feu ?

On n’a pas attendu deux mois avant de réclamer ma démission. Dès mon arrivée, j’ai perçu du scepticisme et des doutes chez les supporteurs. Lors de mon premier match à domicile, j’ai été un peu chahuté. On s’est interrogé sur mon inexpérience à ce niveau. Par chance, j’avais la confiance des dirigeants. Du vestiaire aussi. Mais les résultats ont mis du temps à venir, du temps à l’échelle du football, bien sûr…

Avez-vous été assailli par les doutes ?

Sincèrement, non. Vous savez, quand je rejoins l’ESTAC, je n’arrive pas les mains dans les poches sans avoir passé énormément de temps dans l’analyse pour avoir le plus d’armes possibles. La Ligue 1, je la connais très bien pour l’avoir suivie quand je collaborais à Canal +. Je n’ignorais rien de ses exigences. J’avais, aussi, beaucoup étudié mon nouveau groupe et sa manière de jouer. Je savais où je pouvais aller avec lui. Je m’étais fixé une ligne directrice pour chercher ce maintien. Je m’y suis tenu.

Aspirez-vous, désormais, à vous inscrire dans la durée afin de pérenniser le club dans l’élite ?

Bien entendu. Mais dès mes premières discussions avec les dirigeants, il n’a jamais été question de signer pour six mois. J’aurais pu, mais ça ne m’a pas effleuré l’esprit. Le City Group (qui a racheté le club en 2020) avait une vision à plus long terme. Alors bien sûr, c’est mieux de rester en L 1, mais l’actionnaire n’allait pas planter le club en cas de relégation. Ça peut paraître bizarre, un entraîneur qui se projette, quand on se sait tous assis sur un siège éjectable. Mais je suis dans cet état d’esprit. J’ai envie de bâtir.

Avez-vous été amené à prendre des décisions douloureuses depuis votre nomination ?

Douloureuses ? Oui et non. Il faut relativiser, au regard de l’actualité dramatique à trois heures de chez nous (la guerre en Ukraine). Entraîner, c’est choisir. Pas une ou deux fois dans la semaine, mais au quotidien, du matin au soir. J’ai dû, par exemple, changer certains joueurs, le capitaine (Giraudon à son arrivée, puis Rami ou Tardieu). Modifier mon animation. Mais encore une fois, ça correspondait à mon plan de bataille pour tendre vers l’objectif. J’avais en plus le soutien de ma direction. Elle m’a dit : « On te suit. » C’est important, car pour choisir, il faut cette liberté. Si vous me l’enlevez, j’aurais beaucoup plus de mal à aller dans la direction fixée. Je connais des entraîneurs, dans certains clubs, plus en peine de choisir. J’ai ce luxe-là.

À lire aussi
Adil Rami et sa nouvelle vie en Ligue 1 : «Vous croyez que je suis venu à Troyes pour sortir tous les soirs ?»
Au PSG, c’était sans doute plus compliqué pour Pochettino ?

Par exemple, oui. Thomas Tuchel a certainement plus de liberté de manœuvre à Chelsea. On a pu s’en apercevoir, quand il a mis Lukaku sur le banc.

Êtes-vous de ces coachs qui aiment entrer dans la tête de leurs joueurs ?

Sans doute. Bruno Irles ne se résume pas à un 4-4-2 ou au jeu de possession… Un entraîneur est un manager. Comme tout coach, je dois arriver à tirer le maximum de mon effectif. J’ai besoin de savoir ce que pense le joueur, ses motivations profondes. Et pour ça, il faut le connaître. Le footballeur avec ses qualités, mais également l’homme. C’est le plus long. Ça ne se fait pas en un claquement de doigts. On doit faire un pas l’un vers l’autre. D’où l’importance du dialogue.

« On a chacun sa façon de faire, ses points forts et ses failles, des aspects à améliorer. Ma capacité à réfléchir et analyser est à mes yeux un atout. »
Bruno Irles
Concrètement, quel est le mode opératoire ?

On apprend, on récolte des informations. Il a des enfants ou pas ? Il est en couple ? Ça se passe bien ou il est en instance de séparation ? Oui, c’est sa vie privée, mais à partir du moment où cela affecte le terrain ou la performance, j’ai besoin de le savoir. Il importe aussi d’avoir l’oreille de son vestiaire, de s’imprégner des connexions, des affinités. Si un joueur ne fait pas la passe à untel, ça traduit peut-être un relationnel compliqué en dehors du terrain. Avec mon staff, on a besoin d’avoir toutes ces informations.

Que répondez-vous à ceux qui parlent de vous comme d’un technicien cérébral ?

Ça ne date pas d’hier. Après une terminale scientifique, j’ai enchaîné par un Deug de math (ancien diplôme universitaire national de niveau bac + 2). J’ai toujours eu cette image. Elle m’a d’ailleurs plus desservi quand j’étais joueur. On me disait : « Tu es trop cérébral, tu n’y arriveras pas sur le terrain. » Comme entraîneur, ça ne me porte pas préjudice. Je l’assume. J’aime réfléchir, analyser. Tout cet aspect-là ne suffit pas à être entraîneur. En chaque personne, on trouve énormément de facettes. Mais celle-là, je l’aime beaucoup. Je ne hurle pas sur mes joueurs mais mes messages passent quand même. On a chacun sa façon de faire, ses points forts et ses failles, des aspects à améliorer. Ma capacité à réfléchir et analyser est à mes yeux un atout.

Vos rapports n’ont pas toujours été simples avec Kylian Mbappé quand vous l’aviez en formation à Monaco. Quel regard portez-vous sur le joueur qu’il est devenu ?

On parle d’un grand attaquant. Parmi les meilleurs. Je ne peux que le féliciter de sa carrière. Je suis très content de le voir en équipe de France. Il participe à son succès. Encore une fois aujourd’hui, il est performant. Personne ne remet ça en question. Performant, il l’était aussi chez les jeunes. C’est simplement que le rôle d’un formateur consiste à apprendre quelque chose à ses joueurs. Avec certains, le message passe mieux. Peut-être qu’il a eu un peu de mal à passer avec lui… Mais l’essentiel, c’est qu’ils avancent, que ce soit avec ou contre moi, mais qu’ils avancent dans leur carrière. Ça a été le cas pour Mbappé.
Avatar du membre
Helzeeer
Pro
Pro
Messages : 1027
Enregistré le : 07 juin 2017, 15:51

Re: [Entraîneur] Bruno Irles >> juin 2023

Message par Helzeeer »

soho10 a écrit : 25 mai 2022, 17:34
zidou a écrit : 25 mai 2022, 12:45 Il est interviewé par Le Parisien aujourd'hui : https://www.leparisien.fr/sports/footba ... UVBOBY.php

Si quelqu'un est abonné et pouvait nous partager l'article... 🙏
«Je ne hurle pas sur mes joueurs» : Bruno Irles dévoile sa méthode après le maintien de Troyes

Il a rempli l’objectif assigné par ses dirigeants en permettant au club aubois d’enchaîner, enfin, une deuxième saison dans l’élite. Victime d’un procès en légitimité dès son arrivée, il met des mots sur ces maux, assume sa réputation d’intello et parle librement de Kylian Mbappé.

Le rendez-vous était fixé à la veille de la 38e journée. Pendant près de trente minutes, Bruno Irles, le coach de 46 ans, nommé en remplacement de Laurent Batlles le 3 janvier 2022 à Troyes, a rembobiné son parcours récent, parsemé de quelques soubresauts. Au romantisme de son prédécesseur, il a opposé en quelque sorte son pragmatisme. Il a su s’imprégner de son nouvel environnement et imposer ses principes pour conduire Troyes au maintien (15e). Il s’est également épanché sur son métier, sans oublier d’évoquer Kylian Mbappé — l’entretien a été réalisé avant l’annonce de la prolongation du joueur au PSG — avec qui la cohabitation à Monaco s’était parfois révélée difficile.

Où positionnez-vous le maintien de Troyes sur une échelle de valeurs ?

BRUNO IRLES. J’essaie d’apprendre, depuis mon arrivée, l’histoire de ce club. Troyes avait la réputation de faire l’ascenseur entre la L 1 et la L 2. Quand j’ai signé ici, on m’a notamment répété que l’ESTAC (Espérance sportive Troyes Aube Champagne) ne s’était pas maintenu dans l’élite depuis 2006. À partir de là, on peut parler d’un exploit, car ce n’était pas dans les habitudes de la maison. Et puis seize ans, quand même, ça commence à dater. Je n’avais pas beaucoup de cheveux blancs à l’époque (il rit).

Est-ce une fierté d’être le premier coach à réussir cette performance depuis 2006 ?

Je suis arrivé en cours de saison. On est donc deux avec Laurent (Batlles) à avoir maintenu l’équipe. Il l’a mené en L 1 auparavant. Il ne faut pas l’oublier non plus.

Fin février, vous aviez été visé par des banderoles hostiles lors de la réception de Marseille. L’état de grâce avait fait long feu ?

On n’a pas attendu deux mois avant de réclamer ma démission. Dès mon arrivée, j’ai perçu du scepticisme et des doutes chez les supporteurs. Lors de mon premier match à domicile, j’ai été un peu chahuté. On s’est interrogé sur mon inexpérience à ce niveau. Par chance, j’avais la confiance des dirigeants. Du vestiaire aussi. Mais les résultats ont mis du temps à venir, du temps à l’échelle du football, bien sûr…

Avez-vous été assailli par les doutes ?

Sincèrement, non. Vous savez, quand je rejoins l’ESTAC, je n’arrive pas les mains dans les poches sans avoir passé énormément de temps dans l’analyse pour avoir le plus d’armes possibles. La Ligue 1, je la connais très bien pour l’avoir suivie quand je collaborais à Canal +. Je n’ignorais rien de ses exigences. J’avais, aussi, beaucoup étudié mon nouveau groupe et sa manière de jouer. Je savais où je pouvais aller avec lui. Je m’étais fixé une ligne directrice pour chercher ce maintien. Je m’y suis tenu.

Aspirez-vous, désormais, à vous inscrire dans la durée afin de pérenniser le club dans l’élite ?

Bien entendu. Mais dès mes premières discussions avec les dirigeants, il n’a jamais été question de signer pour six mois. J’aurais pu, mais ça ne m’a pas effleuré l’esprit. Le City Group (qui a racheté le club en 2020) avait une vision à plus long terme. Alors bien sûr, c’est mieux de rester en L 1, mais l’actionnaire n’allait pas planter le club en cas de relégation. Ça peut paraître bizarre, un entraîneur qui se projette, quand on se sait tous assis sur un siège éjectable. Mais je suis dans cet état d’esprit. J’ai envie de bâtir.

Avez-vous été amené à prendre des décisions douloureuses depuis votre nomination ?

Douloureuses ? Oui et non. Il faut relativiser, au regard de l’actualité dramatique à trois heures de chez nous (la guerre en Ukraine). Entraîner, c’est choisir. Pas une ou deux fois dans la semaine, mais au quotidien, du matin au soir. J’ai dû, par exemple, changer certains joueurs, le capitaine (Giraudon à son arrivée, puis Rami ou Tardieu). Modifier mon animation. Mais encore une fois, ça correspondait à mon plan de bataille pour tendre vers l’objectif. J’avais en plus le soutien de ma direction. Elle m’a dit : « On te suit. » C’est important, car pour choisir, il faut cette liberté. Si vous me l’enlevez, j’aurais beaucoup plus de mal à aller dans la direction fixée. Je connais des entraîneurs, dans certains clubs, plus en peine de choisir. J’ai ce luxe-là.

À lire aussi
Adil Rami et sa nouvelle vie en Ligue 1 : «Vous croyez que je suis venu à Troyes pour sortir tous les soirs ?»
Au PSG, c’était sans doute plus compliqué pour Pochettino ?

Par exemple, oui. Thomas Tuchel a certainement plus de liberté de manœuvre à Chelsea. On a pu s’en apercevoir, quand il a mis Lukaku sur le banc.

Êtes-vous de ces coachs qui aiment entrer dans la tête de leurs joueurs ?

Sans doute. Bruno Irles ne se résume pas à un 4-4-2 ou au jeu de possession… Un entraîneur est un manager. Comme tout coach, je dois arriver à tirer le maximum de mon effectif. J’ai besoin de savoir ce que pense le joueur, ses motivations profondes. Et pour ça, il faut le connaître. Le footballeur avec ses qualités, mais également l’homme. C’est le plus long. Ça ne se fait pas en un claquement de doigts. On doit faire un pas l’un vers l’autre. D’où l’importance du dialogue.

« On a chacun sa façon de faire, ses points forts et ses failles, des aspects à améliorer. Ma capacité à réfléchir et analyser est à mes yeux un atout. »
Bruno Irles
Concrètement, quel est le mode opératoire ?

On apprend, on récolte des informations. Il a des enfants ou pas ? Il est en couple ? Ça se passe bien ou il est en instance de séparation ? Oui, c’est sa vie privée, mais à partir du moment où cela affecte le terrain ou la performance, j’ai besoin de le savoir. Il importe aussi d’avoir l’oreille de son vestiaire, de s’imprégner des connexions, des affinités. Si un joueur ne fait pas la passe à untel, ça traduit peut-être un relationnel compliqué en dehors du terrain. Avec mon staff, on a besoin d’avoir toutes ces informations.

Que répondez-vous à ceux qui parlent de vous comme d’un technicien cérébral ?

Ça ne date pas d’hier. Après une terminale scientifique, j’ai enchaîné par un Deug de math (ancien diplôme universitaire national de niveau bac + 2). J’ai toujours eu cette image. Elle m’a d’ailleurs plus desservi quand j’étais joueur. On me disait : « Tu es trop cérébral, tu n’y arriveras pas sur le terrain. » Comme entraîneur, ça ne me porte pas préjudice. Je l’assume. J’aime réfléchir, analyser. Tout cet aspect-là ne suffit pas à être entraîneur. En chaque personne, on trouve énormément de facettes. Mais celle-là, je l’aime beaucoup. Je ne hurle pas sur mes joueurs mais mes messages passent quand même. On a chacun sa façon de faire, ses points forts et ses failles, des aspects à améliorer. Ma capacité à réfléchir et analyser est à mes yeux un atout.

Vos rapports n’ont pas toujours été simples avec Kylian Mbappé quand vous l’aviez en formation à Monaco. Quel regard portez-vous sur le joueur qu’il est devenu ?

On parle d’un grand attaquant. Parmi les meilleurs. Je ne peux que le féliciter de sa carrière. Je suis très content de le voir en équipe de France. Il participe à son succès. Encore une fois aujourd’hui, il est performant. Personne ne remet ça en question. Performant, il l’était aussi chez les jeunes. C’est simplement que le rôle d’un formateur consiste à apprendre quelque chose à ses joueurs. Avec certains, le message passe mieux. Peut-être qu’il a eu un peu de mal à passer avec lui… Mais l’essentiel, c’est qu’ils avancent, que ce soit avec ou contre moi, mais qu’ils avancent dans leur carrière. Ça a été le cas pour Mbappé.
Soho tu régales entre les infos et les articles payants haha merci à toi !
Avatar du membre
snoopy45
Site Admin
Site Admin
Messages : 5144
Enregistré le : 12 juin 2003, 22:36
Localisation : pas très loin .....

Re: [Entraîneur] Bruno Irles >> juin 2023

Message par snoopy45 »

Merci Soho
je suis pour l'EPO : Eau, Pastis, Olives
Avatar du membre
seboun
International
International
Messages : 7715
Enregistré le : 01 oct. 2002, 08:36
Localisation : No Files

Re: [Entraîneur] Bruno Irles >> juin 2023

Message par seboun »

Pas mieux, merci.
Avatar du membre
soho10
Pro
Pro
Messages : 1202
Enregistré le : 02 janv. 2011, 19:17

Re: [Entraîneur] Bruno Irles >> juin 2023

Message par soho10 »

De rien ! ;)
Avatar du membre
Electronic-cat
International
International
Messages : 8440
Enregistré le : 05 oct. 2002, 23:36
Localisation : Vancouver

Re: [Entraîneur] Bruno Irles >> juin 2023

Message par Electronic-cat »

Soho, président !
Merci
Répondre