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L'actualité de l'ESTAC Troyes en Ligue 2 BKT : discussions d'avant-matches et d'après-matches, notes, débats. Infos sur les équipes de N3, féminines, jeunes...
Tres bon derby surtout lorsque l'on gagne!Bonne ambiance et bon match !Avec mantion spéciale pour Brechet et ses coup de gueule:enfin un joueur qui ose sonner la révolte et faire bouger ses coéquipier.Voilà un joueur de caractère!
FOOTBALL (L1). Le derby d'en-bas a servi à relancer l'Estac, qui n'est plus lanterne rouge après son large succès face à son voisin stadiste apathique. Quatre buts encaissés, le danger guette…
C'EST une évidence : le stade de l'Aube ne réussit pas aux Rémois. Cela fait huit ans qu'ils ne s'y sont pas imposés. Hier, ils y ont même vécu leur soirée la plus difficile de la saison, encaissant pour la première fois quatre buts. « Une sale soirée », a résumé Hubert Fournier.
Les Troyens, eux, ont fait le match qu'on attendait d'eux. Volontaires, courageux, déterminés. Ils ont mordu dans le ballon de la première à la dernière minute, profitant au passage d'un jour sans de Kossi Agassa, auteur de trois bévues, pour remporter leur deuxième match en 2013, et laisser la dernière place à Nancy.
Après le beau succès face au leader parisien, plus dure est donc la chute pour les Rouge et Blanc. La lutte continue.
Le contexte Pesant. Forcément. Ni Troyes, ni Reims n'est assuré de garder sa place en Ligue 1. Les deux voisins, promus inconstants, ont gâché nombre de jokers, surtout l'Estac, qui ne sait pas finir ses matches (19 buts encaissés dans le dernier quart d'heure).
Cette troisième confrontation de la saison entre les « Bleu » et les « Rouge et Blanc » sonnait donc comme l'ultime opportunité offerte à l'équipe auboise de se rapprocher de la ligne de flottaison. Pour le Stade de Reims, auréolé de son succès de prestige face au Paris SG, ce rendez-vous avait le goût de la confirmation agrémentée d'une pincée de revanche.
La stratégie
Pas de victoire possible sans prise de risques. En plaçant, dans un rôle de relayeur inédit, le meneur Nivet à la place habituellement occupée par Thiago, un coriace récupérateur, et l'offensif Faussurier dans le couloir droit, Jean-Marc Furlan, annonçait clairement ses intentions. Habituée à maîtriser le ballon, l'Estac souhaitait s'installer dans le camp adversaire, en obligeant les Rémois à reculer.
Le Stade proposait son traditionnel schéma, avec Courtet en pointe, Krychowiak en sentinelle devant une charnière Fofana - Weber. La présence de Ca laissait penser que les Rémois avaient décidé de presser le plus haut possible.
La physionomie
Troyes avait décidé de foncer dès le premier coup de sifflet, s'appuyant sur un bloc placé haut. Les Rémois tentaient de s'organiser mais manquaient de justesse sur leurs relances.
Il aura fallu une cagade d'Agassa pour placer l'équipe locale sur orbite. Une occasion, un but, l'Estac ne pouvait pas faire mieux.
Un peu sonnés, les Rémois se ressaisissaient, misant particulièrement sur un Fortes bien en jambes, prenant régulièrement le dessus sur Othon.
Si les équipes se rendaient coup sur coup, le Stade, avec un brin de réalisme, aurait dû égaliser par Fortes ou Courtet.
Avec Tacalfred à la place de Fofana, sans doute blessé, les Rémois, qui espéraient revenir rapidement à hauteur de leurs hôtes, se faisaient crucifier par un but de Faussurier, profitant d'une inattention collective sur une touche.
La suite, un cauchemar. Trois buts encaissés et une défaite logique en dépit d'un sursaut offensif symbolisé par les buts de De Préville et Fortes.
Dominé dans l'impact, dans l'envie et aussi dans l'organisation, Reims est tombé à la régulière chez la lanterne rouge. Cette fois, le parfum du PSG s'est définitivement dissipé.
Le tournant
Quatre cent vingt minutes de jeu et une première offensive troyenne. Jean crochète Fofana et adresse un tir croisé à peine puissant. Agassa va s'en saisir, c'est sûr. Mais surprise, l'international togolais nous fait une « Arconada », du nom du fameux portier espagnol, en laissant filer le ballon sous son ventre. Kossi, solide rempart, piégé comme un bleu. Et c'est toute un édifice qui s'écroule. Le derby à peine débuté et Reims est déjà à la bourre. Et le vainqueur du PSG ne se remettra jamais de ce but concédé bien trop tôt.
Le chiffre: 1
Le Stade de Reims n'a gardé sa cage inviolée qu'une seule fois en 14 déplacements en L1 cette saison (0- 0 contre Saint-Etienne, le 30 septembre). De plus, pour la première fois de la saison, il a encaissé quatre buts.
l'estac remporte son derby, le losc remporte son derby (bon moi j'ai plus de voie mais c'est rien lol) , quelle belle soiree hier !!! on se reveille tous de bonne humeur ce matin
oui trop bon sur le coup c'est bien eux qui se font enc....
vraiment une sale race ces rémoises.
Carlos leur a t'il encore souhaité la bienvenue en les qualifiant d'amis?