Installer au club un manager sportif en fin de saison, je trouve cela ridicule.....que va t'il faire de plus..........Rien......Observer, dialoguer avec l'entraineur, et après...........gayotremi a écrit :Un bonne effectif ok mais handicapé par des blessures au debut de saison de joueur clés comme Buengo Drouin Fiorese Sanz Obaddi et des joueurs qui on énormément de mal a s'adapter comme lesoimier Bouzid(erreur de casting) !
Apres tu rajoute les je pense brebis galeuse faye enza kébé ...... de plus gérer les jeunes Baudry dialo Beauvue Fausurier .Enfin voila pour moi l'analyse il y un manque cruel de cohésions entre les joueurs c'est pourquoi je pense qu'un directeur sportif fera le plus grand bien surtout si l'on parvient a ce maintenir et qu'il reste l'an prochain pour s'occuper du recrutement !
Je trouve que l'article d'hier sur l'est éclair reflète bien la situation.....Voici l'article en question :
«Actes forts», comme Thierry Gomez en est persuadé, ou bien simples «mesurettes» comme on pourrait le penser ?
Difficile d’être catégorique dans un sens ou dans un autre. Oui, le président de l’Estac a eu raison de reprendre la main comme il l’a fait hier. C’est le signe fort d’une réelle prise de conscience face au risque de relégation qui guette. Adjoindre un tuteur à Ludovic Batelli en la personne de Michel Rablat, c’est reconnaître son erreur de casting sans se désavouer sur sa position de maintenir l’entraîneur en place. Mais, Thierry Gomez porte avant tout une large part de responsabilité dans la lente agonie du club. Comme il l’a répété hier, «c’est le patron qui prend les décisions.» Le choix des entraîneurs, c’est lui. Comme il a pris le parti de recruter certains joueurs ou d’en soutenir d’autres contre vents et marée. À force de maintenir un cap qui n’était pas le bon, le capitaine a conduit le navire au bord des récifs. Il était donc grand temps qu’il redresse la barre. Est-ce que cela suffira à éviter le naufrage? On n’en sait strictement rien. Ce que l’actualité démontre, c’est que malgré ces actes forts ou ces «mesurettes», l’Estac est mal barrée. Dans tous les sens du terme…