surtout dans la tete de PalexandreKevin-10 a écrit :Comme quoi d'une journée à l'autre le vent peu tourner...

surtout dans la tete de PalexandreKevin-10 a écrit :Comme quoi d'une journée à l'autre le vent peu tourner...
Avec HERELLE (malade) et TRAORE qui est blessé (6 point de suture), soit 50 % de la défense forcément il va y avoir des changements.palexandre a écrit :Patatras ! On avait enfin trouvé une défense. Enfin tout le monde le pensait.
[...] (pourquoi changer une défense qui est efficace ?)". Aïe, aïe, aïe.
Il nous fait vraiment du JMF avec CORDOVAL (l'autre gourou, c'était LACOUR ou OTHON)... çà fait peur.
Il est vrai qu'après lecture de l'article au complet, on se fait une toute autre idéeseboun a écrit :Pour éviter tout malentendu quant à des phrases sorti de leur contexte, voici l'article de l'EE en entier :
QUID D’ALOÏS CONFAIS ?
Confais est l’un des joyaux du centre de formation troyen. L’Ebroïcien peine pourtant à trouver grâce aux yeux de Jean-Louis Garcia, au poste qui est le sien, celui de milieu défensif. Mardi, à la peine face aux qualités athlétiques et de vitesse de Boutaïb et Guillaume, Confais a bien failli rentrer précipitamment aux vestiaires. La chance qu’il a eue, c’est que Thiago (entre autres) n’était pas meilleur. Sinon, l’entraîneur troyen le sortait. « J’avais peur, avant le match, que le petit souffre face aux attaquants alsaciens, a relevé Garcia. Cordo n’avait pas été écarté pour insuffisance de performances. Mais pour être frais à Niort. » À la 42 e , Confais est donc repassé au milieu, où il a, après un petit moment de flottement (dur de changer de poste… et de système), éclairé le jeu. Les observateurs, anciens joueurs de l’Estac, ont d’ailleurs loué sa deuxième période, aboutie. Jean-Louis Garcia savait que Confais « allait cavaler, apporter sa présence technique ». Mais le coach semble encore prudent, ne veut pas lui accorder plus de crédit que cela. « Au milieu, il y a de la concurrence. Azamoum va revenir, Randi (Goteni) était grippé. Aloïs, encore en formation, doit s’épaissir. Pour jouer en Ligue 2, il faut gagner des duels, muscler son jeu, tacler, prendre des ballons de la tête. Des duels, aujourd’hui, il n’en gagne pas encore assez. » On espère juste que Confais exprimera tout son potentiel à Troyes. Et que ce jeune homme, la tête sur les épaules, ne se lassera pas.
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