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[Fil rouge] L'ESTAC et le City Football Group
- romainpat94@free.fr
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- Enregistré le : 15 juil. 2023, 12:32
Re: [Fil rouge] L'ESTAC et le City Football Group
Que d'erreurs .. le club de Masoni était très peu structuré au niveau de la direction et donc incapable d'intégrer des directives d'un comité de direction externe ... personne n'a garanti l'esprit du club et les exigences du foot pro français dans le recrutement de la nouvelle orga France ... total Cfg n'est pas en capacité de faire un reset total sans accentuer la spirale sportive négative...
Il faut recruter un directeur français qui incarne le club et les exigences cfg qui doit sauver le club de la nationale et tout reconstruire
Il faut recruter un directeur français qui incarne le club et les exigences cfg qui doit sauver le club de la nationale et tout reconstruire
- aub'boys
- Contributeur
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- Enregistré le : 16 avr. 2005, 06:40
- Localisation : troyes
Re: [Fil rouge] L'ESTAC et le City Football Group
City Group a racheté le parc des expositions... cela m'étonnerait qu'il se mêle de tout ça !
- snoopy45
- Site Admin
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- Localisation : pas très loin .....
Re: [Fil rouge] L'ESTAC et le City Football Group
Ils ont racheté le Parc des Expos, ou c'est la gestion du Parc des Expos qui leur a été confiée ?
je suis pour l'EPO : Eau, Pastis, Olives
- Vince_23
- Pro
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- Enregistré le : 19 juil. 2023, 16:29
- Vince_23
- Pro
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- Enregistré le : 19 juil. 2023, 16:29
Re: [Fil rouge] L'ESTAC et le City Football Group
Je vous invite à lire l’article sur les girondins de bordeaux et cela peut nous aider à nous éclairer sur les décisions de changement de coach.
Nous avons beaucoup de similitudes avec les girondins cette année. Entre joueurs, directeur sportif, entraîneur, rigidité tactique, ambiance, …
https://www.francebleu.fr/sports/footba ... le-3428121
Nous avons beaucoup de similitudes avec les girondins cette année. Entre joueurs, directeur sportif, entraîneur, rigidité tactique, ambiance, …
https://www.francebleu.fr/sports/footba ... le-3428121
- romainpat94@free.fr
- Pro
- Messages : 3257
- Enregistré le : 15 juil. 2023, 12:32
Re: [Fil rouge] L'ESTAC et le City Football Group
Un petit message pour les espagnols et les anglais du Cfg :
- la double confrontation des clubs français en champion s League devrait amener un peu plus d humilité notamment les anglais et leur championnat de blanchiment de fonds
- un australien n'a pas le niveau pour entraîner en pro français
- un entraîneur français de national 3 en 2020 peut amener un club de ligue 1 de 42m€ au niveau d Arsenal 230 m€ sur un match
Ce sont les choix humains des ressources a Troyes qui vont amener la réussite et pas les consultants d'alcôve
- la double confrontation des clubs français en champion s League devrait amener un peu plus d humilité notamment les anglais et leur championnat de blanchiment de fonds
- un australien n'a pas le niveau pour entraîner en pro français
- un entraîneur français de national 3 en 2020 peut amener un club de ligue 1 de 42m€ au niveau d Arsenal 230 m€ sur un match
Ce sont les choix humains des ressources a Troyes qui vont amener la réussite et pas les consultants d'alcôve
- snoopy45
- Site Admin
- Messages : 5141
- Enregistré le : 12 juin 2003, 22:36
- Localisation : pas très loin .....
Re: [Fil rouge] L'ESTAC et le City Football Group
C'est ce qu'il me semblait.
Il y a une nuancé

je suis pour l'EPO : Eau, Pastis, Olives
- Vince_23
- Pro
- Messages : 1001
- Enregistré le : 19 juil. 2023, 16:29
Re: [Fil rouge] L'ESTAC et le City Football Group
Article est eclair de ce jour :
Il n’y a pas eu, mercredi matin, lors de la seule séance d’entraînement ouverte au public de la semaine, de débordements et c’est mieux ainsi. Patrick Kisnorbo, dont une partie du public a réclamé la démission samedi contre Saint-Etienne, a dirigé son entraînement sans être pris à partie. Ceux qui pensaient que le sort de l’entraîneur, dont le bilan à Troyes est cataclysmique, serait scellé mardi, ont dû ravaler leur colère.
Le « board » de City Football group, présent à Troyes pendant trois jours prend la température d’un club en crise. Les informations qui avaient fuité sur un possible débarquement du coach après Saint-Etienne étaient non fondées, on se gardera donc bien de spéculer sur l’avenir de Patrick Kisnorbo à Troyes. Malgré un bilan indéfendable, il est toujours en poste, protégé par on ne sait quel totem d’immunité.
Les forces de l’ordre à l’entraînement le matin, les supporters devant le siège en soirée.
Est-ce juste une question de timing, CFG n’ayant pas pour habitude de céder au diktat de la pression populaire ? C’est une possibilité, la trêve qui suit le prochain déplacement étant plus propice aux grandes manœuvres.
Toujours est-il que cette semaine, l’heure de rendre des comptes n’a pas sonné pour le technicien australien. « PK » reste l’entraîneur, quoi qu’il en coûte à l’Estac depuis onze mois, et il sera assis sur le banc à Valenciennes samedi.
Ce statu quo, qui ressemble à un éloge de la défaite, ne va pas plaire. Une trentaine de supporters a manifesté son courroux mercredi soir devant le siège du club, et les deux représentants ont été reçus.
Mais, comme toujours, CFG trace sa route, assume des choix parfois déconnectés de toute logique sportive. CFG était sûr d’avoir raison en écartant Laurent Batlles, en nommant Bruno Irles, en virant Bruno Irles, puis en désignant Patrick Kisnorbo. Des échecs à répétition qui devraient ébranler leurs certitudes.
Ne pas changer de stratégie alors que le club dévisse dangereusement au classement de Ligue 2 va attiser la colère. Mercredi, et c’est du jamais vu à Troyes, les forces de l’ordre se sont déplacées au Stade de l’Aube et y sont restées une trentaine de minutes pendant l’entraînement.
Les supporters les plus vindicatifs, n’ont pourtant pas semé le désordre. Leur colère étant dirigée contre l’entraîneur, ils ont laissé les joueurs en paix. Quand Xavier Chavalerin est venu les rencontrer en fin de séance, ils étaient presque désolés de l’interpeller, lui, le capitaine courage. Ensuite, c’est François Vitali, le directeur sportif, qui a fait face à leur colère froide.
Tous les pontes présents, sauf Erick Momaberts
Mattijs Manders, le nouveau directeur général de l’Estac, et Sarah Palluel, directrice adjointe, sont aussi venus à la rencontre des supporters. Une seule absence notable dans ce défilé inhabituel des pontes du club autour des terrains d’entraînement : celle d’Erick Mombaerts, le directeur technique, mentor de Patrick Kisnorbo à Melbourne.
Le malaise est palpable. Samedi dernier, contre Saint-Etienne, de rage, un supporter présent en loges a lancé une flûte de champagne sur la pelouse du Stade de l’Aube. Un geste qui aurait pu avoir de lourdes conséquences. Hier, l’ambiance était pesante, avec cette présence des forces de l’ordre (« qui n’étaient pas là à notre demande », précise le service communication du club) en début de séance ; des supporters mécontents, un adjoint nerveux (Ralph Napoli) s’agaçant auprès de François Vitali de cette présence encombrante du public derrière la main courante. Et tout cet état-major de CFG disséminé aux quatre coins du terrain pour scruter la séance menée avec une énergie décuplée par Patrick Kisnorbo.
Dans le regard, dans les attitudes, le « board » a bien dû ressentir cette défiance générale à l’encontre de CFG ; ce ras-le-bol que l’Estac soit devenue un laboratoire. Dans l’œil du cyclone, Patrick Kisnorbo est placé sous surveillance, mais il est toujours là. Jusqu’à quand ? Comment CFG compte gérer cette crise ? On attend des réponses et des actes.
Il n’y a pas eu, mercredi matin, lors de la seule séance d’entraînement ouverte au public de la semaine, de débordements et c’est mieux ainsi. Patrick Kisnorbo, dont une partie du public a réclamé la démission samedi contre Saint-Etienne, a dirigé son entraînement sans être pris à partie. Ceux qui pensaient que le sort de l’entraîneur, dont le bilan à Troyes est cataclysmique, serait scellé mardi, ont dû ravaler leur colère.
Le « board » de City Football group, présent à Troyes pendant trois jours prend la température d’un club en crise. Les informations qui avaient fuité sur un possible débarquement du coach après Saint-Etienne étaient non fondées, on se gardera donc bien de spéculer sur l’avenir de Patrick Kisnorbo à Troyes. Malgré un bilan indéfendable, il est toujours en poste, protégé par on ne sait quel totem d’immunité.
Les forces de l’ordre à l’entraînement le matin, les supporters devant le siège en soirée.
Est-ce juste une question de timing, CFG n’ayant pas pour habitude de céder au diktat de la pression populaire ? C’est une possibilité, la trêve qui suit le prochain déplacement étant plus propice aux grandes manœuvres.
Toujours est-il que cette semaine, l’heure de rendre des comptes n’a pas sonné pour le technicien australien. « PK » reste l’entraîneur, quoi qu’il en coûte à l’Estac depuis onze mois, et il sera assis sur le banc à Valenciennes samedi.
Ce statu quo, qui ressemble à un éloge de la défaite, ne va pas plaire. Une trentaine de supporters a manifesté son courroux mercredi soir devant le siège du club, et les deux représentants ont été reçus.
Mais, comme toujours, CFG trace sa route, assume des choix parfois déconnectés de toute logique sportive. CFG était sûr d’avoir raison en écartant Laurent Batlles, en nommant Bruno Irles, en virant Bruno Irles, puis en désignant Patrick Kisnorbo. Des échecs à répétition qui devraient ébranler leurs certitudes.
Ne pas changer de stratégie alors que le club dévisse dangereusement au classement de Ligue 2 va attiser la colère. Mercredi, et c’est du jamais vu à Troyes, les forces de l’ordre se sont déplacées au Stade de l’Aube et y sont restées une trentaine de minutes pendant l’entraînement.
Les supporters les plus vindicatifs, n’ont pourtant pas semé le désordre. Leur colère étant dirigée contre l’entraîneur, ils ont laissé les joueurs en paix. Quand Xavier Chavalerin est venu les rencontrer en fin de séance, ils étaient presque désolés de l’interpeller, lui, le capitaine courage. Ensuite, c’est François Vitali, le directeur sportif, qui a fait face à leur colère froide.
Tous les pontes présents, sauf Erick Momaberts
Mattijs Manders, le nouveau directeur général de l’Estac, et Sarah Palluel, directrice adjointe, sont aussi venus à la rencontre des supporters. Une seule absence notable dans ce défilé inhabituel des pontes du club autour des terrains d’entraînement : celle d’Erick Mombaerts, le directeur technique, mentor de Patrick Kisnorbo à Melbourne.
Le malaise est palpable. Samedi dernier, contre Saint-Etienne, de rage, un supporter présent en loges a lancé une flûte de champagne sur la pelouse du Stade de l’Aube. Un geste qui aurait pu avoir de lourdes conséquences. Hier, l’ambiance était pesante, avec cette présence des forces de l’ordre (« qui n’étaient pas là à notre demande », précise le service communication du club) en début de séance ; des supporters mécontents, un adjoint nerveux (Ralph Napoli) s’agaçant auprès de François Vitali de cette présence encombrante du public derrière la main courante. Et tout cet état-major de CFG disséminé aux quatre coins du terrain pour scruter la séance menée avec une énergie décuplée par Patrick Kisnorbo.
Dans le regard, dans les attitudes, le « board » a bien dû ressentir cette défiance générale à l’encontre de CFG ; ce ras-le-bol que l’Estac soit devenue un laboratoire. Dans l’œil du cyclone, Patrick Kisnorbo est placé sous surveillance, mais il est toujours là. Jusqu’à quand ? Comment CFG compte gérer cette crise ? On attend des réponses et des actes.
- did3lf
- International
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- Enregistré le : 10 janv. 2007, 09:53
- Localisation : Charente-Maritime
Re: [Fil rouge] L'ESTAC et le City Football Group
D'après l'EE, la grand-mère du boucher, qui a 3 sœurs...
Ils n'ont plus aucun crédit à balancer tout et n'importe quoi, histoire de vendre leur torchon.