Il serait peut-être plus fiable sur le banc que sur le terrain en ce moment
C’est Rami l’adjoint non officiel 
Il serait peut-être plus fiable sur le banc que sur le terrain en ce moment
Il serait peut-être plus fiable sur le banc que sur le terrain en ce moment

Au moins BI ne fait pas dans la langue de bois, il dit des trucs différents de ce que nous avons l'habitude d'entendre je trouve ça intéressant.
Surprenant mais intéressant effectivement. En tout cas ça interpelle.TontonManu a écrit : ↑06 sept. 2022, 22:00 Au moins BI ne fait pas dans la langue de bois, il dit des trucs différents de ce que nous avons l'habitude d'entendre je trouve ça intéressant.
Pas de cette fameuse langue de bois, habituée des discours dans le foot ; c'est bien.seboun a écrit : ↑06 sept. 2022, 23:05Surprenant mais intéressant effectivement. En tout cas ça interpelle.TontonManu a écrit : ↑06 sept. 2022, 22:00 Au moins BI ne fait pas dans la langue de bois, il dit des trucs différents de ce que nous avons l'habitude d'entendre je trouve ça intéressant.
je suis pour l'EPO : Eau, Pastis, Olives
Quelqu’un aurait il la bonté de partager l’itw d’Irles parue dans l’EE svp ? Merci !
Bruno Irles : « On avait un peu les fesses entre deux chaises »
À l’image du président exécutif Aymeric Magne, qui estimait après la rencontre qu’il y avait « la place » pour ramener autre chose qu’une défaite de Lens, les Troyens sont restés sur leur faim.
Bruno Irles reconnaît que son équipe a manqué totalement la première période.
Bruno Irles reconnaît que son équipe a manqué totalement la première période.
Image auteur par défaut
Par Alan Magin
Publié: 10 septembre 2022 à 18h53
Temps de lecture: 2 min
Partage :
« Le résultat est logique, mais on a manqué notre première mi-temps, analyse Bruno Irles. Je sais qu’on était à Lens, qui est leader provisoire, n’a plus perdu depuis un moment, mais je suis convaincu qu’on a le potentiel pour mieux faire. On aurait dû être plus autoritaire en première période. »
Car pendant 45 minutes, on a assisté à une attaque-défense et le score de 1-0 à la pause était flatteur pour l’Estac.
L’Estac n’a pas semblé pousser à bloc dans le dernier quart d’heure
« On a été timorés, timides, en première mi-temps, narre Florian Tardieu. C’était compliqué de ressortir le ballon ; avec leur pressing haut, on n’arrivait pas à se trouver. En deuxième mi-temps, on a essayé de garder le ballon, de lâcher les chevaux, et c’était mieux, on a eu des situations de but avec Mama (Baldé) et Wilson (Odobert). On doit mettre plus de folie dans notre jeu, pour arrêter d’avoir des regrets à la fin. »
Pour l’entraîneur, c’est surtout une question de confiance : « Ce n’est pas l’envie qui manquait, on doit être convaincus de notre potentiel. En deuxième, on a été capables de mieux ; on peut rivaliser avec ce genre d’équipes, comme on l’a fait contre Rennes et Monaco. Je veux convaincre mes joueurs de cela ; on ne peut pas attendre 30 ou 40 minutes pour prendre les choses en main. »
Et encore, l’Estac n’a pas vraiment donné le sentiment de pousser à bloc dans le dernier quart d’heure, alors qu’il n’y avait qu’un but de retard. « Ils ont défendu durant tout le match, constate Franck Haise. On a cherché à ce que cette équipe s’ouvre mais elle ne s’est jamais ouverte… »
« Oui, on avait un peu les fesses entre deux chaises, reprend Irles. Car Lens fait mal en contres. On l’a vu la saison dernière ici : si on s’ouvre un peu et n’importe comment, c’est un adversaire qui est capable de vous punir. Il faut trouver le juste milieu, comme on l’a fait en seconde période. »
À l’image du président exécutif Aymeric Magne, qui estimait après la rencontre qu’il y avait « la place » pour ramener autre chose qu’une défaite de Lens, les Troyens sont restés sur leur faim.
Bruno Irles reconnaît que son équipe a manqué totalement la première période.
Bruno Irles reconnaît que son équipe a manqué totalement la première période.
Image auteur par défaut
Par Alan Magin
Publié: 10 septembre 2022 à 18h53
Temps de lecture: 2 min
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« Le résultat est logique, mais on a manqué notre première mi-temps, analyse Bruno Irles. Je sais qu’on était à Lens, qui est leader provisoire, n’a plus perdu depuis un moment, mais je suis convaincu qu’on a le potentiel pour mieux faire. On aurait dû être plus autoritaire en première période. »
Car pendant 45 minutes, on a assisté à une attaque-défense et le score de 1-0 à la pause était flatteur pour l’Estac.
L’Estac n’a pas semblé pousser à bloc dans le dernier quart d’heure
« On a été timorés, timides, en première mi-temps, narre Florian Tardieu. C’était compliqué de ressortir le ballon ; avec leur pressing haut, on n’arrivait pas à se trouver. En deuxième mi-temps, on a essayé de garder le ballon, de lâcher les chevaux, et c’était mieux, on a eu des situations de but avec Mama (Baldé) et Wilson (Odobert). On doit mettre plus de folie dans notre jeu, pour arrêter d’avoir des regrets à la fin. »
Pour l’entraîneur, c’est surtout une question de confiance : « Ce n’est pas l’envie qui manquait, on doit être convaincus de notre potentiel. En deuxième, on a été capables de mieux ; on peut rivaliser avec ce genre d’équipes, comme on l’a fait contre Rennes et Monaco. Je veux convaincre mes joueurs de cela ; on ne peut pas attendre 30 ou 40 minutes pour prendre les choses en main. »
Et encore, l’Estac n’a pas vraiment donné le sentiment de pousser à bloc dans le dernier quart d’heure, alors qu’il n’y avait qu’un but de retard. « Ils ont défendu durant tout le match, constate Franck Haise. On a cherché à ce que cette équipe s’ouvre mais elle ne s’est jamais ouverte… »
« Oui, on avait un peu les fesses entre deux chaises, reprend Irles. Car Lens fait mal en contres. On l’a vu la saison dernière ici : si on s’ouvre un peu et n’importe comment, c’est un adversaire qui est capable de vous punir. Il faut trouver le juste milieu, comme on l’a fait en seconde période. »
C’est très bien résumé !
L’équipe de Lens, sans être insurmontable, a su mettre un pressing impressionnant, mais on a presque rien tenté. Je comprends l’idée de limiter les dégâts, mais cette année, notre force est aussi la puissance offensive que nous n’avions pas les années précédentes.
Ce match peut servir de match repère pour prendre confiance en soit pour le futur et oser des choses. Oser plus !
L’équipe de Lens, sans être insurmontable, a su mettre un pressing impressionnant, mais on a presque rien tenté. Je comprends l’idée de limiter les dégâts, mais cette année, notre force est aussi la puissance offensive que nous n’avions pas les années précédentes.
Ce match peut servir de match repère pour prendre confiance en soit pour le futur et oser des choses. Oser plus !
Ok ça reprend le gros des éléments de la conférence de presse au final. Merci Armande!armando a écrit : ↑11 sept. 2022, 14:45 Bruno Irles : « On avait un peu les fesses entre deux chaises »
À l’image du président exécutif Aymeric Magne, qui estimait après la rencontre qu’il y avait « la place » pour ramener autre chose qu’une défaite de Lens, les Troyens sont restés sur leur faim.
Bruno Irles reconnaît que son équipe a manqué totalement la première période.
Bruno Irles reconnaît que son équipe a manqué totalement la première période.
Image auteur par défaut
Par Alan Magin
Publié: 10 septembre 2022 à 18h53
Temps de lecture: 2 min
Partage :
« Le résultat est logique, mais on a manqué notre première mi-temps, analyse Bruno Irles. Je sais qu’on était à Lens, qui est leader provisoire, n’a plus perdu depuis un moment, mais je suis convaincu qu’on a le potentiel pour mieux faire. On aurait dû être plus autoritaire en première période. »
Car pendant 45 minutes, on a assisté à une attaque-défense et le score de 1-0 à la pause était flatteur pour l’Estac.
L’Estac n’a pas semblé pousser à bloc dans le dernier quart d’heure
« On a été timorés, timides, en première mi-temps, narre Florian Tardieu. C’était compliqué de ressortir le ballon ; avec leur pressing haut, on n’arrivait pas à se trouver. En deuxième mi-temps, on a essayé de garder le ballon, de lâcher les chevaux, et c’était mieux, on a eu des situations de but avec Mama (Baldé) et Wilson (Odobert). On doit mettre plus de folie dans notre jeu, pour arrêter d’avoir des regrets à la fin. »
Pour l’entraîneur, c’est surtout une question de confiance : « Ce n’est pas l’envie qui manquait, on doit être convaincus de notre potentiel. En deuxième, on a été capables de mieux ; on peut rivaliser avec ce genre d’équipes, comme on l’a fait contre Rennes et Monaco. Je veux convaincre mes joueurs de cela ; on ne peut pas attendre 30 ou 40 minutes pour prendre les choses en main. »
Et encore, l’Estac n’a pas vraiment donné le sentiment de pousser à bloc dans le dernier quart d’heure, alors qu’il n’y avait qu’un but de retard. « Ils ont défendu durant tout le match, constate Franck Haise. On a cherché à ce que cette équipe s’ouvre mais elle ne s’est jamais ouverte… »
« Oui, on avait un peu les fesses entre deux chaises, reprend Irles. Car Lens fait mal en contres. On l’a vu la saison dernière ici : si on s’ouvre un peu et n’importe comment, c’est un adversaire qui est capable de vous punir. Il faut trouver le juste milieu, comme on l’a fait en seconde période. »
Peut être que ce match peut servir à l’équipe pour affirmer quelque chose dans le futur. Même si dans l’immédiat il ne faudra pas se gourer contre les adversaires directs, à commencer par Clermont. J’aimerais vraiment qu’on les batte depuis le temps qu’ils nous emmerdent.
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Bon si on déchiffre le language irlesien, on doit s’attendre à ce que les joueurs lâchent les chevaux contre Clermont!? Il a l’air déçu de sa première mi temps où on a pas toucher une bille. Ainsi, ça ne devrai plus se reproduire!? J’essaye de comprendre!
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