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[Fil rouge] Estacqueries...
- Seven
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- Messages : 6111
- Enregistré le : 19 août 2003, 09:59
- Localisation : Troyes
Re: [Divers] Estacqueries...
Moi je comprend comme Tomass-10, malgré une saison douloureuse sur le plan des résultats il prend du plaisir avec un groupe sain dans un environnement familial qui lui convient avec un président qui lui fait confiance et pour qui il a un grand respect.
La générosité sur le terrain, c'est tout donner sauf la victoire.
- Electronic-cat
- International
- Messages : 8441
- Enregistré le : 05 oct. 2002, 23:36
- Localisation : Vancouver
Re: [Divers] Estacqueries...
Ok, il est heureux un groupe sain (ce qui est normal). Mais de ma compréhension, ce n'est pas tant la mauvaise entente du groupe qui lui faisait peur (il aurait pu aussi avoir cette situation en ligue 2), mais surtout la montée en ligue 1 et de revivre la pression (revivre l'enfer) qu'il a vécu en ligue 1 auparavant avec les autres clubs.
Le Président lui fait confiance, il lui a dit que "c'est une chance de goûter à la ligue 1". Qu'est ce que ca veut dire ? Moi je l'interprète que si on descend, bah ce n'est pas très grave. C'est tout de même un contexte plus apaisant.
Enfin bref, peu importe. Le principal c'est que l'on a tous pris du plaisir au cours de cette saison. Elle n'est pas terminée et c'est inespéré d'avoir encore des chances de se maintenir vu d'où l'on vient !
Le Président lui fait confiance, il lui a dit que "c'est une chance de goûter à la ligue 1". Qu'est ce que ca veut dire ? Moi je l'interprète que si on descend, bah ce n'est pas très grave. C'est tout de même un contexte plus apaisant.
Enfin bref, peu importe. Le principal c'est que l'on a tous pris du plaisir au cours de cette saison. Elle n'est pas terminée et c'est inespéré d'avoir encore des chances de se maintenir vu d'où l'on vient !

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- Contributeur
- Messages : 6609
- Enregistré le : 14 nov. 2005, 19:02
Re: [Divers] Estacqueries...
L'Est Eclair du vendredi 24 mai 2013 :

http://i82.servimg.com/u/f82/13/02/25/60/24-05-11.jpg
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- Contributeur
- Messages : 6609
- Enregistré le : 14 nov. 2005, 19:02
Re: [Divers] Estacqueries...
L'Est Eclair du samedi 25 mai 2013 :

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- Mlledu10
- Pro
- Messages : 1622
- Enregistré le : 30 déc. 2010, 18:44
Re: [Divers] Estacqueries...
Jean-Marc Furlan, éloge de la persévérance
A 36 ans, sa carrière de footballeur terminée trois ans plus tôt, Jean-Marc Furlan tenait un magasin de vêtements de sports et entraînait les débutants dans le club amateur de Libourne. Aujourd'hui, changement de paradigme, le coach de 55 ans lutte pour éviter une troisième relégation en quatre saisons de Ligue 1. Son équipe, Troyes, possède le plus faible buget de l'élite (19 millions d'euros), et sa présence dans l'élite est déjà un petit miracle. "Pour moi, vu mon parcours, un match de Ligue 1, c'est déjà un peu comme un match de Ligue des champions", explique-t-il au Monde.
Alors que le championnat s'achève dimanche soir, même en priant beaucoup, sa cousine nonne et son oncle curé ("chez les hommes de ma famille, on est maçon ou curé !") auront du mal à sauver l'Espérance sportive Troyes-Aube-Champagne (Estac). Pour se maintenir, il faudrait que l'équipe (18e, 37 points) s'impose à Valenciennes et que, dans le même temps, Sochaux (17e, 40 points) s'incline à Bastia.
Quel que soit le dénouement de cette 38e journée, celui qui avait été élu meilleur entraîneur de Ligue 2 en 2005 prévoit de rester à Troyes en 2013-2014. Dès le mois d'octobre, malgré une entame calamiteuse – 2 victoires en 10 matchs, toutes compétitions confondues –, le président Daniel Masoni, lui, avait déjà prolongé de quatre ans son contrat. Plutôt rare dans l'âpre milieu du foot professionnel, cette marque de soutien récompense le style Furlan.
L'ancien défenseur central revendique un jeu offensif et souvent séduisant. "La saison précédente, avec Troyes, nous finissons quand même avec la deuxième meilleure défense de L2 !", tient-il cependant à nuancer. Puis il explique : "Pour gagner un match, on doit d'abord se battre pour récupérer le ballon, en garder le contrôle le plus longtemps possible, et ensuite se procurer des occasions." Facile.
"MOI AUSSI, J'AIME GAGNER"
De là à voir Furlan en apôtre du beau jeu complètement désintéressé de l'enjeu ? Celui-ci refuse de passer pour "un illuminé" et se veut au contraire plutôt "pragmatique" : "Moi aussi, j'aime gagner ! Si on m'expliquait qu'une équipe a réussi à être dix ans invaincue en restant tout le temps en défense, ce serait différent, mais ce genre d'équipe n'existe pas. Pour pérenniser un club avec très peu d'argent, il faut un projet de jeu."
La méthode a déjà porté ses fruits avec les amateurs de Libourne-Saint-Seurin. Entre 1998 et 2004, l'équipe fanion a grimpé du CFA 2 au National. Une épopée en Coupe de France, achevée en quarts de finale, avait également frappé les esprits en 2002. Le milieu de terrain Simon Adoue en sourit encore : "Même lorsqu'il a fallu éliminer des clubs pros, Jean-Marc nous a toujours demandé de proposer du jeu. Avec lui, toutes les équipes de Libourne, y compris celle des jeunes, avaient interdiction de balancer le ballon n'importe comment."
Dans l'élite, le parcours se révèle plus accidenté. Furlan a certes obtenu la montée en Ligue 1 à deux reprises avec Troyes en 2005 et 2012. Mais entre-temps, pas mal de désillusions aussi. Des descentes en Ligue 2 avec les Aubois (2007), puis avec Strasbourg (2008), et enfin, trois mois compliqués, toujours en L2, avec le FC Nantes (2009-2010). L'envahissant président Waldemar Kita, en conflit avec lui, l'avait alors viré en plein exercice. "A Nantes, Furlan n'a pas pu exprimer tout ce qu'il voulait faire, à cause des prérogatives au-dessus de lui", se remémore l'attaquant Thomas Dossevi.
L'ex- préparateur physique Nourredine Bouachera, lui, se souvient des rétrogradations vécues dans l'Aube et en Alsace : "Malheureusement, l'argent est déterminant : quand vous avez le plus petit budget, la plus petite masse salariale, vous n'avez pas forcément les joueurs nécessaires pour assurer la pérennité du club." Ferhat Khirat, qui fut le coordinateur sportif de Strasbourg, poursuit : "Jean-Marc n'a jamais eu les moyens appropriés par rapport à ses compétences. Il mériterait d'entraîner une grande équipe, plus ambitieuse, avec plus de budget."
La réussite à Libourne-Saint-Seurin et la qualité de jeu obtenue à Troyes semblent plutôt classer Furlan dans la catégorie de ces bâtisseurs qui s'épanouissent dans des structures à taille humaine. Pour l'ex-entraîneur bordelais André Meunaut, qui avait formé le jeune homme au poste de défenseur, tenir un tel raisonnement relève de l'"ânerie". " C'est très français, ça, on met des gens dans des cases. A force de se fier constamment à la réputation des uns et des autres, ce sera toujours les mêmes que l'on retrouvera aux mêmes endroits. "
"UN MANAGEUR À L'ANGLAISE"
A l'été 2007, le Girondin d'origine italienne aurait peut-être connu une autre trajectoire s'il avait accepté la proposition de Bordeaux. Là où, encore mineur, il avait commencé sa carrière de footballeur. "J'ai signé à Strasbourg parce que je venais de donner ma parole aux dirigeants alsaciens." Un challenge pourtant dur à comprendre : instabilité des dirigeants, supporteurs exigeants, forte consommation d'entraîneurs... le Racing Club de Strasbourg n'est pas surnommé "l'OM de l'Est" pour rien.
En attendant un éventuel jeu des chaises musicales, Furlan dit vouloir "emmener Troyes en Coupe d'Europe", lui qui avait hésité à céder aux sirènes du Championnat du Qatar à la suite de son séjour nantais. "Revenir en Ligue 2, ce n'est pas un manque d'ambition. Je suis très ambitieux. Seulement, j'aime construire dans la durée. Les résultats ne se programment pas, ils se préparent." Thomas Joubert, le préparateur physique des Troyens, voit en lui "un manageur à l'anglaise". Autrement dit : quelqu'un qui, au lieu de se focaliser sur l'effectif pro, porte un regard global sur le club.
"Jeune joueur, il s'intéressait déjà à ceux qui s'occupent du matériel, au secrétaire, à la standardiste, au chauffeur du bus, il avait compris que tout le monde avait de l'importance", se remémore Claude Le Roy, l'un des ses coéquipiers à Laval (1979-1980), également devenu entraîneur. Ceux qui ont connu Furlan à cette époque garde surtout en mémoire le souvenir d'un stoppeur dur au mal, et souvent teigneux. "Je considérais le terrain de jeu comme un lieu de violence, un champ de bataille, Je me comportais comme un 'frappadingue', admet-il. Aujourd'hui, je me contrôle plus, j'agis moins impulsivement. Et quand je dérape verbalement, je m'en veux. Maintenant, mes joueurs me le pardonnent, car je leur donne tout."
Témoin privilégié, Thomas Joubert raconte : "Dans son management, Jean-Marc a du recul, il a toujours des anecdotes hors football pour rappeler aux joueurs la chance qu'ils ont de faire ce métier. Un jour, il va lire un article du Monde sur la crise économique, et puis hop, le lendemain il en parlera dans le vestiaire." Lors du déplacement périlleux à Valenciennes, il pourrait évoquer ce livre de Jean-Michel Guenassia, qu'il vient de terminer : Le Club des incorrigibles optimistes.
Source : Le Monde
A 36 ans, sa carrière de footballeur terminée trois ans plus tôt, Jean-Marc Furlan tenait un magasin de vêtements de sports et entraînait les débutants dans le club amateur de Libourne. Aujourd'hui, changement de paradigme, le coach de 55 ans lutte pour éviter une troisième relégation en quatre saisons de Ligue 1. Son équipe, Troyes, possède le plus faible buget de l'élite (19 millions d'euros), et sa présence dans l'élite est déjà un petit miracle. "Pour moi, vu mon parcours, un match de Ligue 1, c'est déjà un peu comme un match de Ligue des champions", explique-t-il au Monde.
Alors que le championnat s'achève dimanche soir, même en priant beaucoup, sa cousine nonne et son oncle curé ("chez les hommes de ma famille, on est maçon ou curé !") auront du mal à sauver l'Espérance sportive Troyes-Aube-Champagne (Estac). Pour se maintenir, il faudrait que l'équipe (18e, 37 points) s'impose à Valenciennes et que, dans le même temps, Sochaux (17e, 40 points) s'incline à Bastia.
Quel que soit le dénouement de cette 38e journée, celui qui avait été élu meilleur entraîneur de Ligue 2 en 2005 prévoit de rester à Troyes en 2013-2014. Dès le mois d'octobre, malgré une entame calamiteuse – 2 victoires en 10 matchs, toutes compétitions confondues –, le président Daniel Masoni, lui, avait déjà prolongé de quatre ans son contrat. Plutôt rare dans l'âpre milieu du foot professionnel, cette marque de soutien récompense le style Furlan.
L'ancien défenseur central revendique un jeu offensif et souvent séduisant. "La saison précédente, avec Troyes, nous finissons quand même avec la deuxième meilleure défense de L2 !", tient-il cependant à nuancer. Puis il explique : "Pour gagner un match, on doit d'abord se battre pour récupérer le ballon, en garder le contrôle le plus longtemps possible, et ensuite se procurer des occasions." Facile.
"MOI AUSSI, J'AIME GAGNER"
De là à voir Furlan en apôtre du beau jeu complètement désintéressé de l'enjeu ? Celui-ci refuse de passer pour "un illuminé" et se veut au contraire plutôt "pragmatique" : "Moi aussi, j'aime gagner ! Si on m'expliquait qu'une équipe a réussi à être dix ans invaincue en restant tout le temps en défense, ce serait différent, mais ce genre d'équipe n'existe pas. Pour pérenniser un club avec très peu d'argent, il faut un projet de jeu."
La méthode a déjà porté ses fruits avec les amateurs de Libourne-Saint-Seurin. Entre 1998 et 2004, l'équipe fanion a grimpé du CFA 2 au National. Une épopée en Coupe de France, achevée en quarts de finale, avait également frappé les esprits en 2002. Le milieu de terrain Simon Adoue en sourit encore : "Même lorsqu'il a fallu éliminer des clubs pros, Jean-Marc nous a toujours demandé de proposer du jeu. Avec lui, toutes les équipes de Libourne, y compris celle des jeunes, avaient interdiction de balancer le ballon n'importe comment."
Dans l'élite, le parcours se révèle plus accidenté. Furlan a certes obtenu la montée en Ligue 1 à deux reprises avec Troyes en 2005 et 2012. Mais entre-temps, pas mal de désillusions aussi. Des descentes en Ligue 2 avec les Aubois (2007), puis avec Strasbourg (2008), et enfin, trois mois compliqués, toujours en L2, avec le FC Nantes (2009-2010). L'envahissant président Waldemar Kita, en conflit avec lui, l'avait alors viré en plein exercice. "A Nantes, Furlan n'a pas pu exprimer tout ce qu'il voulait faire, à cause des prérogatives au-dessus de lui", se remémore l'attaquant Thomas Dossevi.
L'ex- préparateur physique Nourredine Bouachera, lui, se souvient des rétrogradations vécues dans l'Aube et en Alsace : "Malheureusement, l'argent est déterminant : quand vous avez le plus petit budget, la plus petite masse salariale, vous n'avez pas forcément les joueurs nécessaires pour assurer la pérennité du club." Ferhat Khirat, qui fut le coordinateur sportif de Strasbourg, poursuit : "Jean-Marc n'a jamais eu les moyens appropriés par rapport à ses compétences. Il mériterait d'entraîner une grande équipe, plus ambitieuse, avec plus de budget."
La réussite à Libourne-Saint-Seurin et la qualité de jeu obtenue à Troyes semblent plutôt classer Furlan dans la catégorie de ces bâtisseurs qui s'épanouissent dans des structures à taille humaine. Pour l'ex-entraîneur bordelais André Meunaut, qui avait formé le jeune homme au poste de défenseur, tenir un tel raisonnement relève de l'"ânerie". " C'est très français, ça, on met des gens dans des cases. A force de se fier constamment à la réputation des uns et des autres, ce sera toujours les mêmes que l'on retrouvera aux mêmes endroits. "
"UN MANAGEUR À L'ANGLAISE"
A l'été 2007, le Girondin d'origine italienne aurait peut-être connu une autre trajectoire s'il avait accepté la proposition de Bordeaux. Là où, encore mineur, il avait commencé sa carrière de footballeur. "J'ai signé à Strasbourg parce que je venais de donner ma parole aux dirigeants alsaciens." Un challenge pourtant dur à comprendre : instabilité des dirigeants, supporteurs exigeants, forte consommation d'entraîneurs... le Racing Club de Strasbourg n'est pas surnommé "l'OM de l'Est" pour rien.
En attendant un éventuel jeu des chaises musicales, Furlan dit vouloir "emmener Troyes en Coupe d'Europe", lui qui avait hésité à céder aux sirènes du Championnat du Qatar à la suite de son séjour nantais. "Revenir en Ligue 2, ce n'est pas un manque d'ambition. Je suis très ambitieux. Seulement, j'aime construire dans la durée. Les résultats ne se programment pas, ils se préparent." Thomas Joubert, le préparateur physique des Troyens, voit en lui "un manageur à l'anglaise". Autrement dit : quelqu'un qui, au lieu de se focaliser sur l'effectif pro, porte un regard global sur le club.
"Jeune joueur, il s'intéressait déjà à ceux qui s'occupent du matériel, au secrétaire, à la standardiste, au chauffeur du bus, il avait compris que tout le monde avait de l'importance", se remémore Claude Le Roy, l'un des ses coéquipiers à Laval (1979-1980), également devenu entraîneur. Ceux qui ont connu Furlan à cette époque garde surtout en mémoire le souvenir d'un stoppeur dur au mal, et souvent teigneux. "Je considérais le terrain de jeu comme un lieu de violence, un champ de bataille, Je me comportais comme un 'frappadingue', admet-il. Aujourd'hui, je me contrôle plus, j'agis moins impulsivement. Et quand je dérape verbalement, je m'en veux. Maintenant, mes joueurs me le pardonnent, car je leur donne tout."
Témoin privilégié, Thomas Joubert raconte : "Dans son management, Jean-Marc a du recul, il a toujours des anecdotes hors football pour rappeler aux joueurs la chance qu'ils ont de faire ce métier. Un jour, il va lire un article du Monde sur la crise économique, et puis hop, le lendemain il en parlera dans le vestiaire." Lors du déplacement périlleux à Valenciennes, il pourrait évoquer ce livre de Jean-Michel Guenassia, qu'il vient de terminer : Le Club des incorrigibles optimistes.
Source : Le Monde
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Re: [Divers] Estacqueries...
Rien sur L'Est Eclair aujourd'hui...
Modifié en dernier par le gégé le 01 juin 2013, 10:46, modifié 1 fois.
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Re: [Divers] Estacqueries...
... mais il y 'a http://troyes.lhebdoduvendredi.com/ :

http://i82.servimg.com/u/f82/13/02/25/60/01-06-11.jpg

http://i82.servimg.com/u/f82/13/02/25/60/01-06-10.jpg
bonne lecture.
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Re: [Divers] Estacqueries...
Post déplacé dans le sujet "Stade de l'Aube" 

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